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13 juin 2022 1 13 /06 /juin /2022 18:13

 

Biblioteca, Monasterio de San Lorenzo del Escurial, Madrid.

Photo : T. Guinhut.

 

 

 

 

Des Maîtres de vérité et de la Vérité nue.

 

Avec le secours de Platon, Thomas d’Aquin,

Friedrich Nietzsche, Michel Foucault,

Karl Popper, Raymond Boudon,

David A. Bell & Hans Blumenberg.

 

 

 

Michel Foucault : La Question anthropologique,

EHESS Gallimard Seuil, 2022, 300 p, 25 €.

 

Karl Popper : La Connaissance objective,

traduit de l’anglais par Jacques Rosat, Champs Flammarion, 2012, 580 p, 13,20 €.

 

David A. Bell : Le Culte des chefs, traduit de l’anglais (Etats-Unis)

par Pierre-Emmanuel Dauzat et Aude de Saint-Loup, Fayard, 2022, 384 p, 26 €.

 

Hans Blumenberg : La Vérité nue,

Traduit de l’allemand par Marc de Launay, Seuil, 2022, 300 p, 24 €.

 

 

 

Ils nous guident, nous éclairent, établissent sous nos pas de sûres fondations. Ils peuvent également nous enfumer, nous tromper, nous tyranniser. En d’autres mots, ce sont les maîtres de vérité, veillant sur elle, comme Platon, la fixant, comme Thomas d’Aquin, la distinguant comme Emmanuel Kant, l’interrogeant et la conspuant comme Friedrich Nietzsche et Michel Foucault, ou la protégeant, la réhabilitant comme Raymond Boudon et Karl Popper. Les voici maîtres au sens de la connaissance et de la bienveillance au service du libre-arbitre de leurs disciples, ou au sens du prosélytisme, du commandement, du totalitarisme, comme les fondateurs de religions et d’utopies politiques, et du « culte des chefs » pour reprendre le titre de David A. Bell. Hélas, et suite à ces maîtres de fausseté et d’erreur, rien n’est moins sûr que l’on veuille toujours connaître le vrai. Tant « la vérité nue », telle que l’interroge Hans Blumenberg, effraie, choque ; ce pourquoi il lui faut être voilée pour être décente, pour berner le peuple et l’électeur, quoiqu’avec un succès mitigé et, in fine, dangereux.

 

Différencions les maîtres honorables et nécessaires de ceux tyranniques. Les premiers ont des disciples paisibles, les seconds n’ont que des affidés, des thuriféraires incendiaires, et des esclaves. Faut-il compter les philosophes  parmi les premiers ? Eux dont la maîtrise vise à ouvrir le chemin du vrai…

Peut-être tout commence-t-il par des dieux. Marcel Détienne, dans ses Maîtres de vérité dans la Grèce archaïque[1], montre qu’alors trois types de personnages prétendent être les détenteurs d’un privilège inséparable de leur rôle institutionnel : l’aède, le devin et le roi de justice ; ce qui leur permet de dispenser la « Vérité ». Du moins du mot grec « Aléthéia », qui signifie à la fois l’ordre rituel, le rapport aux dieux et la puissance cosmique. Fille de Zeus, cette Aléthéia est la déesse qui devient chez les Romains Veritas.

Avec Platon, l’éternelle vérité préexiste à son découvreur. En tant qu’elle est congruence, cohérence et utilité, il est nécessaire de la faire affleurer par le moyen de la maïeutique. Et telle que l’allégorie de la caverne laisse entendre sa réalité. Or son Socrate ne laisse guère de place au libre-arbitre d’un contradicteur, ne demandant le plus souvent que l’assentiment de son auditeur dans des dialogues qui n’en sont guère. Y compris dans Le Banquet, lorsqu’après les propositions de divers intervenants, dont Aristophane avec son mythe de l’androgyne, il s’élève au sommet de la vérité sur l’amour qui lui fut révélée par Diotime. À la rare réserve du Cratyle, dans lequel il ne peut trancher entre une origine imitative ou arbitraire du langage. Reste que « les philosophes véritables […] sont ceux qui aiment le spectacle de la vérité ». L’on suppose qu’il s’agit de celui d’au-delà de la caverne, révélant les essences, pièges de l’idéalisme socratique. Et si « nul n’entre ici s’il n’est géomètre », le calcul et l’arithmétique sont de ces arts « capables de conduire à la vérité[2] ». Que l’on doit, à la suite de Parménide, distinguer de la voie des opinions ou doxa. Après Platon, dont la vérité est transcendance, Aristote en imagine le sens moderne, celui de l’adéquation de la chose et de l’intellect. Or elle est une cible que l’on peut rater. Ce dont a bien conscience le stoïcien Marc Aurèle : « Si l'on peut me convaincre et me montrer que je juge ou que j’agis à tort, je serai content de changer ; car je cherche la vérité, qui ne peut être un dommage pour personne ; or celui qui persiste dans son erreur ou son ignorance subit un dommage[3] ».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans le cadre du christianisme, de son Dieu, en d’autres termes de sa fiction, il faut arrimer la vérité à son plan supérieur, la souder à son fondement. Concevant le vrai comme un objet transcendantal, selon Thomas d’Aquin, au XIII° siècle, Dieu est vérité. Car « l’on nomme « vrai » ce à quoi tend l’intelligence ». Ainsi, « nous faisons consister la vérité des choses dans leur rapport avec l’intellect divin ». Mieux, Dieu « juge de tout et il connait tous les objets complexes. Et c’est ainsi que la vérité est dans son intellect[4] ». En conséquence l’on doit considérer éternité et immutabilité. En toute logique, le philosophe chrétien de la Somme théologique fait suivre cette question 16 par celle de la fausseté.

Passons par la philosophie scolastique qui distingue les vérités de raison (nécessaires) et celle de de fait (contingentes), par Malebranche qui, dans Le Recherche de la vérité, en 1674, prétend que la certitude de l’intelligence a plus de valeur que la foi,  par Leibniz qui ajoute à ces vérités de raison l’idée d’innéité et à celles de fait celle de l’accord avec la conscience et les sens. Kant ensuite propose la distinction entre vérité formelle de la logique, des mathématiques et vérité matérielle des sciences expérimentales, sans oublier cependant celles éternelles du divin.

Thomas D’Aquin, Leibniz, Kant apparaissent alors comme des maîtres de vérité, plus pour leurs définitions et distinctions que par pulsion de pouvoir. L’on se doute alors que les décentrements de la vérité que furent l’irruption de l’héliocentrisme copernicien, l’évolution des espèces darwinienne, puis la théorie de l’inconscient freudien, ont creusé sinon des failles, mais des chemins plus divers et ouverts.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Entre autres progrès de la connaissance en mathématiques, chimie, biologie, la vérité cosmologique quitte le géocentrisme aristotélicien et gagne ses lettres de noblesse avec l’héliocentrisme de Copernic en 1543, comme celle médicale avec la découverte de la circulation du sang prouvée par Harvey en 1628, rejetant Galien au rayon des antiquités, avec l’apparitions de tant de découvertes qui invalident les précédentes, voire avec le principe d’incertitude d’Heisenberg qui montre qu’une particule peut-être à la fois et tantôt onde et particule…

Restent alors les sphères des jugements humains, des convictions et des opinions, qui pourraient fonder un accord universel entre les esprits ; sauf qu’ici l’affaire se gâte, entre le caractère douteux de l’assentiment de la majorité et de la subjectivité interhumaine.

Si la vérité scientifique voit certaines de ses parties battues en brèche au profit de modèles plus exacts, le scepticisme renverse avec Nietzsche tout l’édifice de la vérité, ce dans le cadre du renversement du platonisme. Au détour d’une de ces fables animalières dont l’auteur d’Ainsi parlait Zarathoustra est friand, il balaie l’illusion d’un revers de manche : « Ils périrent et disparurent avec la mort de la vérité. Tel fut le sort de ces animaux voués au désespoir, qui avaient inventé la connaissance[5] ». Plus loin, dans Vérité et mensonge au sens extra-moral, il exécute la certitude enkystée dans les valeurs morales : « Qu’est-ce donc que la vérité ? Une multitude mouvante de métaphores, de métonymies, d’anthropomorphisme, bref une somme de relations humaines qui ont été rehaussées, transposées et ornées par la poésie et par la rhétorique, et qui après un long usage paraissent établies, canoniques et contraignantes aux yeux d’un peuple[6] ». Ainsi, dans le monde de la volonté de puissance, « il n’y a pas de faits, seulement des interprétations[7] ».

Embrayant sur ce discours, Michel Foucault[8] lie indéfectiblement le pouvoir à la constitution de la vérité : « On pourrait appeler alèthurgie l’ensemble des procédés possibles, verbaux ou non, par lesquels on amène au jour ce qui est posé comme vrai par opposition au faux, au caché, à l’indicible, à l’imprévisible, à l’oubli, et dire qu’il n’y a pas d’exercice du pouvoir sans alèthurgie ». En somme, selon l’auteur des Mots et les choses, la vérité est politique ou n’est pas, ce qui a conduit un certain post-foucaldisme à affirmer que toute vérité est un effet ou un produit du pouvoir, malgré le déni du maître, qui exerça sa pertinence ainsi : « Rien n’est plus inconsistant qu’un régime politique qui est indifférent à la vérité ; mais rien n’est plus dangereux qu’un régime politique qui prétend prescrire la vérité[9] ». Et l’on ajoutera : la proscrire…

Si La Question anthropologique peut se résumer à « Qu’est-ce que l’homme ? », Michel Foucault ne peut échapper à celle de la vérité. Il la saisit à bras le corps, depuis Parménide en passant par la transition kantienne et Nietzsche, qui procède à l’éclatement du discours anthropologique ; ce qui, à la suite de la nietzschéenne mort de Dieu, prépare la célèbre annonce de la mort de l’homme lors de l’ultime page des Mots et les choses. Ainsi « La démarche idéaliste qui, depuis Protagoras, a tracé le premier chemin de toute philosophie n’est en fait ni radicale ni fondée. Ni fondée parce qu’elle repose sur le préjugé de la vérité, ni radicale parce qu’elle ne le met pas en question ». En somme, toute la philosophie pré-nietzschéenne dupe la vérité. Lors « l’homme ne peut plus être la vérité de la vérité, ni la vérité, la vérité de l’homme ». Reste la belle promesse, quoiqu’elle découle, selon notre philosophe, du peu libéral Karl Marx : « la découverte que l’homme et la vérité ne s’appartiennent l’un à l’autre que dans la forme de la liberté ». À cet égard, la précieuse préface d’Arianna Sforzini s’achève avec une pertinence rare : « Foucault est bien plus moderne que sa lecture postmoderne n’a voulu le voir : à nous de décider si sa modernité est encore la nôtre ». L’injonction est à méditer.

De « Connaissance de l’homme et réflexion transcendantale », selon le titre de la première partie, en passant par « L’anthropologie comme réalisation de la critique » (seconde partie) jusqu’à « La fin de l’anthropologie » (troisième partie), le « nous n’avons pas la vérité est « une conscience qui est infiniment plus profonde déjà que la conscience sceptique[10] ». La mort de Dieu clamée par Nietzsche n’étant pas pour rien dans ce processus. En ce sens, « le nihilisme est beaucoup plus qu’une révolution culturelle dans laquelle s’engloutit la civilisation chrétienne ; c’est plus encore une catastrophe historique dans laquelle l’homme viendrait à perdre sa lumière et la terre son soleil ». La pertinence n’empêche pas un rien de grandiloquence rhétorique. Cependant la pensée humaniste résiste lorsque que Rémi Brague pense « l’anthropologie comme christologie[11] »…

Loin de n’être qu’un rassemblement de « cours » donnés en 1954 et 1955, La Question anthropologique mérite d’être une des ossatures de la pensée foucaldienne, ne serait-ce que parce qu’il s’agit également d’une prémisse de L’Ordre du discours : « Enfin je crois que cette volonté de vérité ainsi appuyée sur un support et une volonté institutionnelle, tend à exercer sur les autres discours - je parle toujours de notre société - une sorte de pression et comme un pouvoir de contrainte[12] ». Mais à trop traquer les pouvoirs, ne risque-t-on pas d’écorner, d’invalider la ou les vérités…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Peut-on penser et accepter des vérités morales absolues ? Il faudra alors s’appuyer non seulement sur la nature humaine et le droit naturel, mais aussi sur les résultats probants du concept moral.

Avec Marx puis Nietzsche, dont Michel Foucault fit son miel, la vérité semble prendre un sérieux coup. Surtout en ce qui concerne les valeurs morales. Ce à quoi répond avec vigueur Raymond Boudon : « Dans la version néo-marxiste ou néo-nietzschéenne, les valeurs sont analysées comme des illusions couvrant des phénomènes de domination ». De plus, « pour Marx et la tradition marxiste les sentiments moraux sont des fantômes qui se forment dans l’esprit humain. Pour Freud et la tradition psychanalytique, il n’existe pas de sentiments moraux : les sentiments moraux sont le produit du complexe d’Œdipe ». Suite à la déconstruction[13] postmoderne, pluralisme et relativisme culturels brouillent le vrai et le faux, le juste et l’injuste. Et pourtant ! « Qui, malgré cette vogue du relativisme, oserait proclamer que les régimes despotiques sont supérieurs aux démocratiques? » Les maîtres de fausseté et d’erreur pullulent en prétendant que les valeurs morales sont des conventions. Alors que Raymond Boudon propose de « réactiver la notion de nature humaine, et de reconnaître que le sens moral en représente une composante essentielle[14] ». Son essai Le Juste et le vrai, sous-titré « études sur l’objectivité des valeurs et de la connaissance », permet de faire se jouxter le vrai de l’objectivité scientifique avec celui assuré à des valeurs qui transcendent les cultures, telles qu’elles sont parties prenantes du droit naturel de l’individu et en permettent l’épanouissement : la liberté, le respect d’autrui, le droit à l’enseignement et aux soins, la paix plutôt que la guerre, l’égalité devant la loi, et caetera, considérés comme des vérités.

L’épistémologie contemporaine ne peut ignorer la question de la vérité, de surcroit à l’heure où quelques éveillés du wokisme et de la Cancel culture[15], inspirés par la filiation nietzschéenne et par le phallologocentrisme de Derrida, vont jusqu’à prétendre que la science est blanche et occidentalocentrée, ce qui la condamnerait de fait et permettrait de la contrebalancer avec l’irrationalité des sorcières et des médications traditionnelles africaines. Aussi faut-il avec Karl Popper revoir les bases et les implications de la connaissance objective en son ouvrage ainsi titré.

La démarcation entre sciences et pseudosciences, dont la métaphysique, ne peut se passer de cette méthode qui irrigue La Connaissance objective. Elle emprunte pourtant des voies insolites, via des « nuages et des horloges », des « bulles de savon », ce dont s’est peut-être inspiré Peter Sloterdijk pour sa trilogie des Sphères[16]. Ce qui permet la critique de l’idéalisme et de traiter de la liberté en passant par le darwinisme. La connaissance des lois universelles de la nature est aussi à ce prix, alors que nous sommes que des créatures éphémères et marquées par la finitude. Or, pour Karl Popper, Einstein sert de déclencheur : « jamais il n’y eut de théorie mieux « établie » que celle de Newton, et il est peu vraisemblable qu’il en existe jamais une ; mais, quoique l’on puisse penser de la théorie d’Einstein, il est sûr qu’elle nous a enseigné à considérer celle de Newton comme une « simple » hypothèse ou conjecture[17] ». Les sciences exactes relèvent alors d’un statut provisoire, entraînant le risque du scepticisme, la vérité paraissant dès lors moins importante que l’efficacité. Pourtant, si aucune théorie n’est peut-être pas vraie, néanmoins les sciences progressent sur le chemin de la vérité. Et si l’on doit risquer et tester des hypothèses, la philosophie de la connaissance n’est plus de l’ordre du sujet ou du fondement transcendantal, mais de la logique, d’où le livre majeur de Karl Popper : La Logique de la découverte scientifique[18]. Un avenir irrésolu s’ouvre devant la recherche, celui d’une philosophie de l’émergence. Ce qui ne remet pas en cause la possibilité du progrès scientifique, au contraire de ce que postule un Thomas Kuhn[19]. En outre, la connaissance ne procédant pas du sujet, elle acquiert une dimension ontologique en tant qu’elle est objective. Le but de la science est alors moins la vérité comme absolu, mais ce que Karl Popper appelle « vérisimilitude », en passant par la validation par correspondance et non par les théories de la vérité-cohérence ou de la vérité-utilité. Les exigences de la rationalité critique sont au prix du couple conjecture réfutation, non sans oublier le rôle moteur de l’échec des théories précédentes et des erreurs. Ainsi l’on peut se garder d’un scepticisme aux conséquences irrationalistes. Or, « insister sur les différences entre la science et les humanités fut longtemps une mode ; c’est devenu une rengaine ennuyeuse. Toutes deux pratiquent la méthode de résolution des problèmes, la méthode de conjecture et réfutation ». La synthèse de la pensée de Karl Popper est peut-être là : « Bien que nous n’ayons aucun critère de la vérité ni même aucun moyen d’être entièrement sûrs de la fausseté d’une théorie, il est plus facile de s’apercevoir qu’une théorie est fausse que de s’apercevoir qu’elle est vraie. Nous avons même de bonnes raisons de penser que la plupart de nos théories - même nos meilleures théories - sont, à strictement parler, fausses ; car elles simplifient les faits à outrance ou les idéalisent. Pourtant une conjecture fausse peut s’approcher plus ou moins de la vérité. Nous en arrivons donc à l’idée de proximité par rapport à la vérité, ou d’une approximation plus ou moins bonne de la vérité - à l’idée de vérisimilitude[20] ».

 

Cette fois comme philosophe politique, Karl Popper, dans La Société ouverte et ses ennemis, dénonce trois maîtres de vérité : Platon, Hegel et Marx. Outre qu’ils contreviennent à une société ouverte où la libre démarche scientifique peut naître et se développer, ils entretiennent le glissement vers la tyrannie et le totalitarisme, via leur goût pour des lois déterministes et la fatalité historique. Chez Platon, le « philosophe-roi » est l’emblème d’une élite omnipotente, au sein du collectivisme d’une république où l’individu n’est rien. La justice platonicienne est fondée sur une différence irréductible de classe : « pour nous, la justice suppose une certaine égalité dans le traitement des individus, tandis que Platon ne la considère pas comme s’appliquant aux relations entre ceux-ci, mais comme une propriété de l’Etat tout entier[21] ». Quant à l’auteur des Leçons sur la philosophie de l’Histoire, le voici brocardé en adepte de la dialectique, qualifiée de « méthode magique », en maître à penser de l’Etat prussien, dont il fut « le philosophe officiel », et d’un Etat omniprésent et omniscient, « son aversion pour le libéralisme[22] » confortant sa conception de l’Etat en tant qu’Esprit, soit tout un « fatras nauséabond ». Le troisième, contempteur du capital bourgeois infiniment coupable, établit le dogme du prolétariat salvateur et de son parti en digne théoricien du totalitarisme[23], tel que l’assurent les dix mesures inscrites dans le marbre rouge du Manifeste du parti communiste. Cependant, bien que Karl Popper démonte le « raisonnement prophétique marxiste[24] » et ses incohérences, il conclue par une surprenante profession de foi, qui réhabilite le maître de vérité : « Le marxisme « scientifique » est bien mort. Mais le marxisme moral doit survivre ». C’est ne pas avoir lu, malgré le scrupule qu’on lui connait, le Manifeste du parti communiste jusqu’à ses dernières pages qui cadenassent toute espérance de société ouverte.

Dans son « Impromptu » de Vincennes, le 3 décembre 1969, Lacan s’écrie : « L’aspiration révolutionnaire, ça n’a qu’une chance, d’aboutir toujours au discours du maître. C’est ce dont l’expérience a fait la preuve. Ce à quoi vous aspirez comme révolutionnaires, c’est à un maître. Vous l’aurez[25] ». Ce que confirme l’obédience maoïste, communiste et anarchiste, en deux mots anticapitaliste et antilibérale des agités de mai 68, à l’instar de celle rouge et verte d’aujourd’hui, tous maîtres de fausseté qui n’attendent que le charisme d’un leader, d’un premier secrétaire du parti, d’un guide ou führer, d’un chef. À moins de préférer une figure religieuse d’amour et de pardon, comme ce Christ qui prétendait cependant diviser ceux qui sont avec lui de ceux qui s’en éloignent, comme le bon et le mauvais larron, au risque d’enchaîner l’évangélisation à la contrainte. Comme ce prophète unique d’une autre religion révélée qui ne craint pas de recourir au crime pour punir ceux qui refusent la soumission. À la hauteur d’une telle démesure, la vérité théocratique se dresse, vengeresse et sans pitié.

Du charisme à la tyrannie, il n’y a trop souvent qu’un pas. En témoigne l’essai de David A. Bell, Le Culte des chefs, sous-titré « Charisme et pouvoir à l’âge des révolutions ». Car de l’Europe aux Amériques, les espérances révolutionnaires conduisirent au pouvoir suprême de charismatiques chefs militaires. Pascal Paoli en Corse, George Washington aux Etats-Unis, Napoléon Bonaparte en France, Toussaint Louverture en Haïti, Simon Bolívar en Bolivie suscitèrent au tournant du XVIII° et du XIX° siècle l’enthousiasme des populations, au point de parvenir au sommet du pouvoir. Issus de la démocratie et de l’impact du charisme politique, ces dirigeants n’en devinrent pourtant pas toujours des défenseurs de cette démocratie, comme George Washington, mais des tyrans entraînant leur peuple galvanisé par leur hubris vers l’abattoir des guerres de conquête, à l’instar de Napoléon. De tels destins d’exceptions permettent à l’historien David A. Bell de réhabiliter l’influence de personnalités hors du commun sur l’Histoire, comme lorsqu’Hegel vit en 1806 passer « l’âme du monde[26] » sur son cheval et sous les traits de Napoléon. Mais aussi de déciller notre analyse des mouvements révolutionnaires, tout autant que de remarquer qu’aucun temps n’est immunisé contre la figure du chef charismatique, le plus souvent délétère, au sens où son aura intrinsèquement religieuse lui confère une vérité dangereuse. Il est vain de croire que nous serions dans l’avenir débarrassés de prétendus pères fondateurs tels qu’Hitler ou Staline, dont « la légitimité perçue de leurs régimes dépendait de la dévotion extatique qu’ils prétendaient avoir inspirée (et, dans une mesure effrayante inspiraient bel et bien) à leurs populations ». David A. Bell ajoute avec raison que « le charisme politique peut bel et bien aider des leaders ambitieux à détruire des régimes constitutionnels[27] ».

 Ce qui n’est pas sans jeter un sérieux doute sur les vertus de la démocratie moderne, cette vérité dont on ne voit guère la face sombre, soit la capacité à élire, par la vertu de la majorité, voire de l’admiration, de futurs dictateurs.

 

Museo de Sigüenza, Guadalajara.

Photo : T. Guinhut.

 

En 1792, Florian consacre à notre sujet sa toute première fable, en tête de son recueil :

« La Vérité toute nue

Sortit un jour de son puits.

Ses attraits par le temps étaient un peu détruits.

Jeunes et vieux fuyaient sa vue.

La pauvre Vérité restait là morfondue,

Sans trouver un asile où pouvoir habiter.

À ses yeux vient se présenter la Fable richement vêtue.

[…]

Pourquoi vous montrer toute nue ?

Ce n’est pas adroit. Tenez arrangeons-nous ;

Qu’un même intérêt nous rassemble :

Venez sous mon manteau, nous marcherons ensemble.

Chez le sage, à cause de vous,

Je ne serai point rebutée ;

À cause de moi, chez les fous

Vous ne serez point maltraitée[28] ».

Aux vérités nues qui dérangent, effraient, faut-il préférer une réconfortante illusion ? La question est aussi vieille que le monde et la réponse est polymorphe, voire inextricable, dans l’appareil de la métaphysique et de la religion, voire de la philosophie t de la science.

Retournons aux sources de la métaphore de Nuda Veritas, telle que la déplie et l’inscrit dans le champ philosophique Hans Blumenberg parmi les pages de son essai sobrement intitulé La Vérité nue, qu’il s’inscrit dans le champ de sa métaphorologie. Entre « deus nudus » et « deus revelatus », nos civilisations hésitent. Pourtant, aussi bien chez Socrate que dans l’eschatologie chrétienne, l’homme, qui d’abord ne fut couvert que de la nudité adamique, se présente à la fin des temps nu devant ses juges. Alors que la nudité, telle celle de Noé moquée par son fils Cham, peut-être objet de scandale.

Curieusement Hans Blumenberg ne procède pas chronologiquement. À une histoire de la vérité vêtue ou dévêtue, il préfère un sinueux parcours, de Nietzsche à Lichtenberg, en passant par Bayle et Kierkegaard, Kafka et Rousseau, en des chapitres comme des articles un brin disparates ; ce qui ne rend pas la lecture du propos toujours aisée.

En accordant vertu sociale aux apparences, Pascal préfère laisser la vérité à sa discrétion, tandis que les philosophes de Lumières sont partagés. Nietzsche, lui, tout en déchirant les voiles, considère le danger du dévoilement, alors que Freud tient à ouvrir le coffre de l’inconscient dans l’intérêt d’une thérapeutique, tout en prônant un rigorisme de la vérité. Néanmoins, au détour d’une réflexion qui se confronte à Kant, l’on se demande s’il faut « attendre de la métaphore du dépouillement du vêtement dogmatique que rien d’autre que la vérité nue en surgisse[29] ». Le dogme, qu’il soit religieux ou politique, apparait alors comme un mensonge. Mais ce qui apparait ici en filigrane, et continument, c’est le besoin de consolation, la nécessité de l’illusion face au tragique de la condition humaine et de l’Histoire. En revanche, les secrets de la nature étant cachés, des scientifiques comme Copernic, Galilée ou Newton ont pu révéler ce que l’ignorance avait longtemps recouvert d’un voile affreux. Ainsi la nudité apparaitrait comme un idéal où brillerait la vérité, si noire soit-elle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Que faire pour cacher les parties honteuses de la vérité ? La voiler, la burkiniser, laisser s’effacer les vidéos qui auraient montré qu’autour du Stade de France, les racailles issues de l’immigration musulmane (sans exclusive) ont pillé, volé, frappé, agressé sexuellement, et interdire les statistiques ethniques ; mais aussi, dans d’autres registres, nous faire prendre les vessies rouges du communisme pour des lanternes vertes de l’écologie planificatrice obscurantiste, nous faire croire que plus de socialisme et d’Etat rédimera les échecs de ces derniers, qu’un Etat surendendetté peut encore distribuer un argent magique en épuisant les citoyens à coup d’impôts, de taxes, de contraintes et d’interdictions diverses d’entreprendre tant dans les domaines des énergies fossiles, que dans celui des plantes génétiquement modifiées ; ad libitum. Etant bien entendu que vous n’avez pas lu ce paragraphe à l’obscène vérité nue qui ne manquera pas d’éclater aux yeux des aveugles volontaires…

Reportons nous à la sagacité de celle qui sait que « les chances qu’a la vérité de fait de survivre à l’assaut du pouvoir sont effectivement très minces » : Hannah Arendt. Elle poursuit dans Vérité et politique son analyse imparable : « Le résultat d’une substitution cohérente et totale du mensonge à la vérité factuelle n’est pas que les mensonges seront maintenant acceptés comme vérité, ni que la vérité sera diffamée comme mensonge, mais que le sens par lequel nous nous orientons dans le monde réel […] se trouve détruit[30] ».

 

Hier, aujourd’hui, demain, historiens, scientifiques, philosophes, sociologues, politiques et religieux se disputent la dignité unique de maître de vérité ou tentent, comme Raymond Boudon et Karl Popper, d'en dérouler les méthodes et la nécessité. En décapant et annihilant ce Graal philosophique, Nietzsche et Foucault sont-ils encore de ces maîtres de vérité ? À moins que leur coup de force aboutisse à un statut de véracité surplombant, au-dessus d’une tabula rasa… Et quand Orwell commande son 1984 au moyen du « Ministère de la vérité[31] », il n’ignore pas que trop souvent la politique et son cortège de démagogie inaugurent l’ère du mensonge. Recourons à cet égard à un romancier espagnol, José Carlos Somoza, pourtant habitué au fantastique : « la vérité n’est jamais démocratique, elle ne dépend pas du nombre de personnes qui croient en elle, c’est plutôt le contraire : elle est réservée à la minorité attentive et sélective, la politique est donc un échec absolu[32] ».

Thierry Guinhut

Une vie d'écriture et de photographie


[1] Marcel Détienne : Maîtres de vérité dans la Grèce archaïque, Le Livre de poche, 2006.

[2] Platon : République, V 475 e, VII 525 b, Œuvres complètes, Flammarion, 2008, p 1642, 1690.

[3] Marc Aurèle : Pensées, VI 21, Les Stoïciens, La Pléiade, Gallimard, 2011, p 1182.

[4] Thomas d’Aquin : Somme théologique, Cerf, 1984, I, p 274, 275, 279.

[5] Friedrich Nietzsche : « La Passion de la vérité », Cinq préfaces pour cinq livres qui n’ont pas été écrits, Œuvres, I, p 293, La Pléiade, Gallimard, 2000.

[6] Friedrich Nietzsche : Vérité et mensonge au sens extra-moral, ibidem, p 408.

[7] Friedrich Nietzsche : Fragments posthumes, XI, 38 - 12.

[9] Michel Foucault : « Le souci de vérité », Dits et écrits II, Gallimard Quarto, 2001, p 1497.

[10] Michel Foucault : La Question anthropologique, EHESS Gallimard Seuil, 2022, p 119, 159, 163, 185.

[11] Rémi Brague : Après l’humanisme. L’image chrétienne de l’homme, Salvator, 2022, p 83.

[12] Michel Foucault : L’Ordre du discours, Œuvres II, Pléiade Gallimard, 2015, p 232-233.

[14] Raymond Boudon : Le Juste et le vrai, Champs Flammarion, 2009, p 46, 439, 440.

[17] Karl Popper : La Connaissance objective, Champs Flammarion, 2009, p 50-51, 287.

[18] Karl Popper : La Logique de la découverte scientifique, Payot, 1973.

[19] Thomas Kuhn : La Structure des révolutions scientifiques, Champs Flammarion, 1983.

[20] Karl Popper : La Connaissance objective, ibidem, p 287, 466.

[21] Karl Popper : La Société ouverte et ses ennemis, I, Seuil, 2012 p 83.

[22] Karl Popper : La Société ouverte et ses ennemis, ibidem, II, p 18, 19, 39, 55.

[24] Karl Popper : La Société ouverte et ses ennemis, ibidem, II, p 100.

[25] Jacques Lacan : Annexes au Séminaire, XVII, L’envers de la psychanalyse, Seuil, 1991, p. 239.

[26] Hegel : Correspondance, Tel Gallimard, 1990, t I, p 115.

[27] David A. Bell, Le Culte des chefs, Fayard, 2022, p 245, 250.

[28] Florian : Fables, Garnier, sans date, p 19-20.

[29] Hans Blumenberg : La Vérité nue, Seuil, 2022, p 231, 214.

[30] Hannah Arendt : Vérité et politique, L’Humaine condition, Quarto Gallimard, 2012, p 792, 815.

[31] George Orwell : 1984, Club des Libraires de France, 1956, p 14.

[32] José Carlos Somoza : Etude en noir, Actes Sud, 2023, p 81.

 

Saint-Thomas d’Aquin, Paredes de Nava, Palencia.

Photo : T. Guinhut.

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S
La vérité est toujours belle en soi, même lorsqu'elle fait mal _ de la même maniere que la lumière du jour peut faire mal aux yeux ou qu'un chef-d'œuvre artistique ou littéraire d'art peut provoquer une forme de souffrance, il n'en demeure pas moins qu'elles restent belles.<br /> <br /> Inversement le mensonge (y compris par omission) est toujours laid, toxique et destructeur.<br /> <br /> Peut-être est-ce en partie dû à mon handicap, mais je pense que meme dans les relations sociales il est préférable de dire des vérités brutales que des mensonges hypocrites.
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Première soirée : dialogue et jury des Muses

V Récit de la danseuse Terpsichore

IX Récit du cinéaste : L’ecpyrose de l’Envie

XI Récit de la Musicienne : La Gourmandise

XIII Récit d'Erato : la peintresse assassine

XVII Polymnie ou la tyrannie politique

XIX Calliope jeuvidéaste : Civilisation et Barbarie

 

 

 

 

 

 

Guinhut

Philosophie politique

 

 

 

 

 

 

Guinhut

Faillite et universalité de la beauté, de l'Antiquité à notre contemporain, essai

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut

Au Coeur des Pyrénées

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut

Pyrénées entre Aneto et Canigou

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut

Haut-Languedoc

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut

Montagne Noire : Journal de marche

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut Triptyques

Le carnet des Triptyques géographiques

 

 

 

 

 

 

Guinhut Le Recours aux Monts du Cantal

Traversées. Le recours à la montagne

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut

Le Marais poitevin

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut La République des rêves

La République des rêves, roman

I Une route des vins de Blaye au Médoc

II La Conscience de Bordeaux

II Le Faust de Bordeaux

III Bironpolis. Incipit

III Bironpolis. Les nuages de Titien 

IV Eros à Sauvages : Les belles inconnues

IV Eros : Mélissa et les sciences politiques

VII Le Testament de Job

VIII De natura rerum. Incipit

VIII De natura rerum. Euro Urba

VIII De natura rerum. Montée vers l’Empyrée

VIII De natura rerum excipit

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut Les Métamorphoses de Vivant

I Synopsis, sommaire et prologue

II Arielle Hawks prêtresse des médias

III La Princesse de Monthluc-Parme

IV Francastel, frontnationaliste

V Greenbomber, écoterroriste

VI Lou-Hyde Motion, Jésus-Bouddha-Star

VII Démona Virago, cruella du-postféminisme

 

 

 

 

 

 

Guinhut Voyages en archipel

I De par Marie à Bologne descendu

IX De New-York à Pacifica

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut Sonnets

À une jeune Aphrodite de marbre

Sonnets des paysages

Sonnets de l'Art poétique

Sonnets autobiographiques

Des peintres : Crivelli, Titien, Rothko, Tàpies, Twombly

Trois requiem : Selma, Mandelstam, Malala

 

 

 

 

 

 

Guinhut Trois vies dans la vie d'Heinz M

I Une année sabbatique

II Hölderlin à Tübingen

III Elégies à Liesel

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut Le Passage des sierras

Un Etat libre en Pyrénées

Le Passage du Haut-Aragon

Vihuet, une disparition

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut

Ré une île en paradis

 

 

 

 

 

 

Guinhut

Photographie

 

 

 

 

 

 

Guinhut La Bibliothèque du meurtrier

Synospsis, sommaire et Prologue

I L'Artiste en-maigreur

II Enquête et pièges au labyrinthe

III L'Ecrivain voleur de vies

IV La Salle Maladeta

V Les Neiges du philosophe

VI Le Club des tee-shirts politiques

XIII Le Clone du Couloirdelavie.com.

 

 

 

 

 

 

Haddad

La Sirène d'Isé

Le Peintre d’éventail, Les Haïkus

Corps désirable, Nouvelles de jour et nuit

 

 

 

 

 

 

 

Haine

Du procès contre la haine

 

 

 

 

 

 

 

Hamsun

Faim romantique et passion nazie

 

 

 

 

 

 

 

Haushofer

Albrecht Haushofer : Sonnets de Moabit

Marlen Haushofer : Mur invisible, Mansarde

 

 

 

 

 

 

 

Hayek

De l’humiliation électorale

Serions-nous plus libres sans l'Etat ?

Tempérament et rationalisme politique

Front Socialiste National et antilibéralisme

 

 

 

 

 

 

 

Histoire

Histoire du monde en trois tours de Babel

Eloge, blâme : Histoire mondiale de la France

Statues de l'Histoire et mémoire

De Mein Kampf à la chambre à gaz

Rome du libéralisme au socialisme

Destruction des Indes : Las Casas, Verne

Jean Claude Bologne historien de l'amour

Jean Claude Bologne : Histoire du scandale

Histoire du vin et culture alimentaire

Corbin, Vigarello : Histoire du corps

Berlin, du nazisme au communisme

De Mahomet au Coran, de la traite arabo-musulmane au mythe al-Andalus

L'Islam parmi le destin français

 

 

 

 

 

 

 

Hobbes

Emeutes urbaines : entre naïveté et guerre

Serions-nous plus libres sans l'Etat ?

 

 

 

 

 

 

 

Hoffmann

Le fantastique d'Hoffmann à Ewers

 

 

 

 

 

 

 

Hölderlin

Trois vies d'Heinz M. II Hölderlin à Tübingen

 

 

 

 

 

 

Homère

Dan Simmons : Ilium science-fictionnel

 

 

 

 

 

 

 

Homosexualité

Pasolini : Sonnets du manque amoureux

Libertés libérales : Homosexualité, drogues, prostitution, immigration

Garcia Lorca : homosexualité et création

 

 

 

 

 

 

Houellebecq

Extension du domaine de la soumission

 

 

 

 

 

 

 

Humanisme

Erasme et Aldo Manuzio

Etat et utopie de Thomas More

Le Pogge : Facéties et satires morales

Le Pogge et Lucrèce au Quattrocento

De la République des Lettres et de Peiresc

Eloge de Pétrarque humaniste et poète

Pic de la Mirandole : 900 conclusions

 

 

 

 

 

 

 

Hustvedt

Vivre, penser, regarder. Eté sans les hommes

Le Monde flamboyant d’une femme-artiste

 

 

 

 

 

 

 

Huxley

Du meilleur des mondes aux Temps futurs

 

 

 

 

 

 

 

Ilis 

Croisade des enfants, Vies parallèles, Livre des nombres

 

 

 

 

 

 

 

Impôt

Vers le paradis fiscal français ?

Sloterdijk : fiscocratie, repenser l’impôt

La dette grecque,  tonneau des Danaïdes

 

 

 

 

 

 

Inde

Coffret Inde, Bhagavad-gita, Nagarjuna

Les hijras d'Arundhati Roy et Anosh Irani

 

 

 

 

 

 

Inégalités

L'argument spécieux des inégalités : Rousseau, Marx, Piketty, Jouvenel, Hayek

 

 

 

 

 

 

Islam

Lettre à une jeune femme politique

Du fanatisme morbide islamiste

Dictatures arabes et ottomanes

Islam et Russie : choisir ses ennemis

Humanisme et civilisation devant le viol

Arbre du terrorisme, forêt d'Islam : dénis

Arbre du terrorisme, forêt d'Islam : défis

Sommes-nous islamophobes ?

Islamologie I Mahomet, Coran, al-Andalus

Islamologie II arabe et Islam en France

Claude Lévi-Strauss juge de l’Islam

Pourquoi nous ne sommes pas religieux

Vérité d’islam et vérités libérales

Identité, assimilation : Finkielkraut, Tribalat

Averroès et al-Ghazali

 

 

 

 

 

Israël

Une épine démocratique parmi l’Islam

Résistance biblique Appelfeld Les Partisans

Amos Oz : un Judas anti-fanatique

 

 

 

 

 

 

 

Jaccottet

Philippe Jaccottet : Madrigaux & Clarté

 

 

 

 

 

 

James

Voyages et nouvelles d'Henry James

 

 

 

 

 

 

 

Jankélévitch

Jankélévitch, conscience et pardon

L'enchantement musical


 

 

 

 

 

 

Japon

Bashô : L’intégrale des haïkus

Kamo no Chômei, cabane de moine et éveil

Kawabata : Pissenlits et Mont Fuji

Kiyoko Murata, Julie Otsuka : Fille de joie

Battle royale : téléréalité politique

Haruki Murakami : Le Commandeur, Kafka

Murakami Ryû : 1969, Les Bébés

Mieko Kawakami : Nuits, amants, Seins, œufs

Ôé Kenzaburô : Adieu mon livre !

Ogawa Yoko : Cristallisation secrète

Ogawa Yoko : Le Petit joueur d’échecs

À l'ombre de Tanizaki

101 poèmes du Japon d'aujourd'hui

Rires du Japon et bestiaire de Kyosai

 

 

 

 

 

 

Jünger

Carnets de guerre, tempêtes du siècle

 

 

 

 

 

 

 

Kafka

Justice au Procès : Kafka et Welles

L'intégrale des Journaux, Récits et Romans

 

 

 

 

 

 

Kant

Grandeurs et descendances des Lumières

Qu’est-ce que l’obscurantisme socialiste ?

 

 

 

 

 

 

 

Karinthy

Farémido, Epépé, ou les pays du langage

 

 

 

 

 

 

Kawabata

Pissenlits, Premières neiges sur le Mont Fuji

 

 

 

 

 

 

Kehlmann

Tyll Ulespiegle, Les Arpenteurs du monde

 

 

 

 

 

 

Kertész

Kertész : Sauvegarde contre l'antisémitisme

 

 

 

 

 

 

 

Kjaerstad

Le Séducteur, Le Conquérant, Aléa

 

 

 

 

 

 

Knausgaard

Autobiographies scandinaves

 

 

 

 

 

 

Kosztolanyi

Portraits, Kornél Esti

 

 

 

 

 

 

 

Krazsnahorkaï

La Venue d'Isaie ; Guerre & Guerre

Le retour de Seiobo et du baron Wenckheim

 

 

 

 

 

 

 

La Fontaine

Des Fables enfantines et politiques

Guinhut : Fables politiques

 

 

 

 

 

 

Lagerlöf

Le voyage de Nils Holgersson

 

 

 

 

 

 

 

Lainez

Lainez : Bomarzo ; Fresan : Melville

 

 

 

 

 

 

 

Lamartine

Le lac, élégie romantique

 

 

 

 

 

 

 

Lampedusa

Le Professeur et la sirène

 

 

 

 

 

 

Langage

Euphémisme et cliché euphorisant, novlangue politique

Langage politique et informatique

Langue de porc et langue inclusive

Vulgarité langagière et règne du langage

L'arabe dans la langue française

George Steiner, tragédie et réelles présences

Vocabulaire européen des philosophies

Ben Marcus : L'Alphabet de flammes

 

 

 

 

 

 

Larsen 

L’Extravagant voyage de T.S. Spivet

 

 

 

 

 

 

 

Legayet

Satire de la cause animale et botanique

 

 

 

 

 

 

Leopardi

Génie littéraire et Zibaldone par Citati

 

 

 

 

 

 

 

Lévi-Strauss

Claude Lévi-Strauss juge de l’Islam

 

 

 

 

 

 

 

Libertés, Libéralisme

Pourquoi je suis libéral

Pour une éducation libérale

Du concept de liberté aux Penseurs libéraux

Lettre à une jeune femme politique

Le libre arbitre devant le bien et le mal

Requiem pour la liberté d’expression

Qui est John Galt ? Ayn Rand : La Grève

Ayn Rand : Atlas shrugged, la grève libérale

Mario Vargas Llosa, romancier des libertés

Homosexualité, drogues, prostitution

Serions-nous plus libres sans l'Etat ?

Tempérament et rationalisme politique

Front Socialiste National et antilibéralisme

Rome du libéralisme au socialisme

 

 

 

 

 

 

Lins

Osman Lins : Avalovara, carré magique

 

 

 

 

 

 

 

Littell

Les Bienveillantes, mythe et histoire

 

 

 

 

 

 

 

Lorca

La Colombe de Federico Garcia Lorca

 

 

 

 

 

 

Lovecraft

Depuis l'abîme du temps : l'appel de Cthulhu

Lovecraft, Je suis Providence par S.T. joshi

 

 

 

 

 

 

Lugones

Fantastique, anticipation, Forces étranges

 

 

 

 

 

 

Lumières

Grandeurs et descendances des Lumières

D'Holbach : La Théologie portative

Tolérer Voltaire et non le fanatisme

 

 

 

 

 

Machiavel

Actualités de Machiavel : Le Prince

 

 

 

 

 

 

 

Magris

Secrets et Enquête sur une guerre classée

 

 

 

 

 

 

 

Makouchinski

Un bateau pour l'Argentine

 

 

 

 

 

 

Mal

Hannah Arendt : De la banalité du mal

De l’origine et de la rédemption du mal : théologie, neurologie et politique

Le libre arbitre devant le bien et le mal

Christianophobie et désir de barbarie

Cabré Confiteor, Menéndez Salmon Medusa

Roberto Bolano : 2666, Nocturne du Chili

 

 

 

 

 

 

 

Maladie, peste

Maladie et métaphore : Wagner, Maï, Zorn

Pandémies historiques et idéologiques

Pandémies littéraires : M Shelley, J London, G R. Stewart, C McCarthy

 

 

 

 

 

 

 

Mandelstam

Poésie à Voronej et Oeuvres complètes

Trois requiem, sonnets

 

 

 

 

 

 

 

Manguel

Le cheminement dantesque de la curiosité

Le Retour et Nouvel éloge de la folie

Voyage en utopies

Lectures du mythe de Frankenstein

Je remballe ma bibliothèque

Du mythe européen aux Lettres européennes

 

 

 

 

 

 

 

Mann Thomas

Thomas Mann magicien faustien du roman

 

 

 

 

 

 

 

Marcher

De L’Art de marcher

Flâneurs et voyageurs

Le Passage des sierras

Le Recours aux Monts du Cantal

Trois vies d’Heinz M. I Une année sabbatique

 

 

 

 

 

 

Marcus

L’Alphabet de flammes, conte philosophique

 

 

 

 

 

 

Mari

Les Folles espérances, fresque italienne

 

 

 

 

 

 

 

Marino

Adonis, un grand poème baroque

 

 

 

 

 

 

Marivaux

Le Jeu de l'amour et du hasard

 

 

 

 

 

 

Martin Georges R.R.

Le Trône de fer, La Fleur de verre : fantasy, morale et philosophie politique

 

 

 

 

 

 

Martin Jean-Clet

Philosopher la science-fiction et le cinéma

Enfer de la philosophie et Coup de dés

Déconstruire Derrida

 

 

 

 

 

 

 

Marx

Karl Marx, théoricien du totalitarisme

« Hommage à la culture communiste »

De l’argument spécieux des inégalités

 

 

 

 

 

 

Mattéi

Petit précis de civilisations comparées

 

 

 

 

 

 

 

McEwan

Satire et dystopie : Une Machine comme moi, Sweet Touch, Solaire

 

 

 

 

 

 

Méditerranée

Histoire et visages de la Méditerranée

 

 

 

 

 

 

Mélancolie

Mélancolie de Burton à Földenyi

 

 

 

 

 

 

 

Melville

Billy Budd, Olivier Rey, Chritophe Averlan

Roberto Abbiati : Moby graphick

 

 

 

 

 

 

Mille et une nuits

Les Mille et une nuits de Salman Rushdie

Schéhérazade, Burton, Hanan el-Cheikh

 

 

 

 

 

 

Mitchell

Des Ecrits fantômes aux Mille automnes

 

 

 

 

 

 

 

Mode

Histoire et philosophie de la mode

 

 

 

 

 

 

Montesquieu

Eloge des arts, du luxe : Lettres persanes

Lumière de L'Esprit des lois

 

 

 

 

 

 

 

Moore

La Voix du feu, Jérusalem, V for vendetta

 

 

 

 

 

 

 

Morale

Notre virale tyrannie morale

 

 

 

 

 

 

 

More

Etat, utopie, justice sociale : More, Ogien

 

 

 

 

 

 

Morrison

Délivrances : du racisme à la rédemption

L'amour-propre de l'artiste

 

 

 

 

 

 

 

Moyen Âge

Rythmes et poésies au Moyen Âge

Umberto Eco : Baudolino

Christine de Pizan, poète feministe

Troubadours et érotisme médiéval

Le Goff, Hildegarde de Bingen

 

 

 

 

 

 

Mulisch

Siegfried, idylle noire, filiation d’Hitler

 

 

 

 

 

 

 

Murakami Haruki

Le meurtre du commandeur, Kafka

Les licornes de La Fin des temps

 

 

 

 

 

 

Musique

Musique savante contre musique populaire

Pour l'amour du piano et des compositrices

Les Amours de Brahms et Clara Schumann

Mizubayashi : Suite, Recondo : Grandfeu

Jankélévitch : L'Enchantement musical

Lady Gaga versus Mozart La Reine de la nuit

Lou Reed : chansons ou poésie ?

Schubert : Voyage d'hiver par Ian Bostridge

Grozni : Chopin contre le communisme

Wagner : Tristan und Isold et l'antisémitisme

 

 

 

 

 

 

Mythes

La Genèse illustrée par l'abstraction

Frankenstein par Manguel et Morvan

Frankenstein et autres romans gothiques

Dracula et autres vampires

Testart : L'Amazone et la cuisinière

Métamorphoses d'Ovide

Luc Ferry : Mythologie et philosophie

L’Enfer, mythologie des lieux, Hugo Lacroix

 

 

 

 

 

 

 

Nabokov

La Vénitienne et autres nouvelles

De l'identification romanesque

 

 

 

 

 

 

 

Nadas

Mémoire et Mélancolie des sirènes

La Bible, Almanach

 

 

 

 

 

 

Nadaud

Des montagnes et des dieux, deux fictions

 

 

 

 

 

 

Naipaul

Masque de l’Afrique, Semences magiques

 

 

 

 

 

 

 

Nietzsche

Bonheurs, trahisons : Dictionnaire Nietzsche

Romantisme et philosophie politique

Nietzsche poète et philosophe controversé

Les foudres de Nietzsche sont en Pléiade

Jean-Clet Martin : Enfer de la philosophie

Violences policières et antipolicières

 

 

 

 

 

 

Nooteboom

L’écrivain au parfum de la mort

 

 

 

 

 

 

Norddahl

SurVeillance, holocauste, hermaphrodisme

 

 

 

 

 

 

Oates

Le Sacrifice, Mysterieux Monsieur Kidder

 

 

 

 

 

 

 

Ôé Kenzaburo

Ôé, le Cassandre nucléaire du Japon

 

 

 

 

 

 

Ogawa 

Cristallisation secrète du totalitarisme

Au Musée du silence : Le Petit joueur d’échecs, La jeune fille à l'ouvrage

 

 

 

 

 

 

Onfray

Faut-il penser Michel Onfray ?

Censures et Autodafés

Cosmos

 

 

 

 

 

 

Oppen

Oppen, objectivisme et Format américain

Oppen

 

Orphée

Fonctions de la poésie, pouvoirs d'Orphée

 

 

 

 

 

 

Orwell

L'orwellisation sociétale

Cher Big Brother, Prism américain, français

Euphémisme, cliché euphorisant, novlangue

Contrôles financiers ou contrôles étatiques ?

Orwell 1984

 

Ovide

Métamorphoses et mythes grecs

 

 

 

 

 

 

 

Palahniuk

Le réalisme sale : Peste, L'Estomac, Orgasme

 

 

 

 

 

 

Palol

Le Jardin des Sept Crépuscules, Le Testament d'Alceste

 

 

 

 

 

 

 

Pamuk

Autobiographe d'Istanbul

Le musée de l’innocence, amour, mémoire

 

 

 

 

 

 

 

Panayotopoulos

Le Gène du doute, ou l'artiste génétique

Panayotopoulos

 

Panofsky

Iconologie de la Renaissance

 

 

 

 

 

 

Paris

Les Chiffonniers de Paris au XIX°siècle

 

 

 

 

 

 

 

Pasolini

Sonnets des tourments amoureux

 

 

 

 

 

 

Pavic

Dictionnaire khazar, Boite à écriture

 

 

 

 

 

 

 

Peinture

Traverser la peinture : Arasse, Poindron

Le tableau comme relique, cri, toucher

Peintures et paysages sublimes

Sonnets des peintres : Crivelli, Titien, Rohtko, Tapiès, Twombly

 

 

 

 

 

 

Perec

Les Lieux de Georges Perec

 

 

 

 

 

 

 

Perrault

Des Contes pour les enfants ?

Perrault Doré Chat

 

Pétrarque

Eloge de Pétrarque humaniste et poète

Du Canzoniere aux Triomphes

 

 

 

 

 

 

 

Petrosyan

La Maison dans laquelle

 

 

 

 

 

 

Philosophie

Mondialisations, féminisations philosophiques

 

 

 

 

 

 

Photographie

Photographie réaliste et platonicienne : Depardon, Meyerowitz, Adams

La photographie, biographème ou oeuvre d'art ? Benjamin, Barthes, Sontag

Ben Loulou des Sanguinaires à Jérusalem

Ewing : Le Corps, Love and desire

 

 

 

 

 

 

Picaresque

Smollett, Weerth : Vaurien et Chenapan

 

 

 

 

 

 

 

Pic de la Mirandole

Humanisme philosophique : 900 conclusions

 

 

 

 

 

 

Pierres

Musée de minéralogie, sexe des pierres

 

 

 

 

 

 

Pisan

Cent ballades, La Cité des dames

 

 

 

 

 

 

Platon

Faillite et universalité de la beauté

 

 

 

 

 

 

Poe

Edgar Allan Poe, ange du bizarre

 

 

 

 

 

 

 

Poésie

Anthologie de la poésie chinoise

À une jeune Aphrodite de marbre

Brésil, Anthologie XVI°- XX°

Chanter et enchanter en poésie 

Emaz, Sacré : anti-lyrisme et maladresse

Fonctions de la poésie, pouvoirs d'Orphée

Histoire de la poésie du XX° siècle

Japon poétique d'aujourd'hui

Lyrisme : Riera, Voica, Viallebesset, Rateau

Marteau : Ecritures, sonnets

Oppen, Padgett, Objectivisme et lyrisme

Pizarnik, poèmes de sang et de silence

Poésie en vers, poésie en prose

Poésies verticales et résistances poétiques

Du romantisme à la Shoah

Anthologies et poésies féminines

Trois vies d'Heinz M, vers libres

Schlechter : Le Murmure du monde

 

 

 

 

 

 

Pogge

Facéties, satires morales et humanistes

 

 

 

 

 

 

 

Policier

Chesterton, prince de la nouvelle policière

Terry Hayes : Je suis Pilgrim ou le fanatisme

Les crimes de l'artiste : Pobi, Kellerman

Bjorn Larsson : Les Poètes morts

Chesterton father-brown

 

Populisme

Populisme, complotisme et doxa

 

 

 

 

 

 

 

Porter
La Douleur porte un masque de plumes

 

 

 

 

 

 

 

Portugal

Pessoa et la poésie lyrique portugaise

Tavares : un voyage en Inde et en vers

 

 

 

 

 

 

Pound

Ezra Pound, poète politique controversé par Mary de Rachewiltz et Pierre Rival

 

 

 

 

 

 

Powers

Générosité, Chambre aux échos, Sidérations

Orfeo, le Bach du bioterrorisme

L'éco-romancier de L'Arbre-monde

 

 

 

 

 

 

 

Pressburger

L’Obscur royaume, ou l’enfer du XX° siècle

Pressburger

 

Proust

Le baiser à Albertine : À l'ombre des jeunes filles en fleurs

Illustrations, lectures et biographies

Le Mystérieux correspondant, 75 feuillets

Céline et Proust, la recherche du voyage

 

 

 

 

 

 

Pynchon

Contre-jour, une quête de lumière

Fonds perdus du web profond & Vice caché

Vineland, une utopie postmoderne

 

 

 

 

 

 

 

Racisme

Racisme et antiracisme

Pour l'annulation de la Cancel culture

Ecrivains noirs : Wright, Ellison, Baldwin, Scott Heron, Anthologie noire

 

 

 

 

 

 

Rand

Qui est John Galt ? La Source vive, La Grève

Atlas shrugged et La grève libérale

 

 

 

 

 

 

Raspail

Sommes-nous islamophobes ?

Camp-des-Saints

 

Reed Lou

Chansons ou poésie ? L’intégrale

 

 

 

 

 

 

 

Religions et Christianisme

Pourquoi nous ne sommes pas religieux

Catholicisme versus polythéisme

Eloge du blasphème

De Jésus aux chrétiennes uchronies

Le Livre noir de la condition des Chrétiens

D'Holbach : Théologie portative et humour

De l'origine des dieux ou faire parler le ciel

Eloge paradoxal du christianisme

 

 

 

 

 

 

Renaissance

Renaissance historique et humaniste

 

 

 

 

 

 

 

Revel

Socialisme et connaissance inutile

 

 

 

 

 

 

 

Richter Jean-Paul

Le Titan du romantisme allemand

 

 

 

 

 

 

 

Rios

Nouveaux chapeaux pour Alice, Chez Ulysse

 

 

 

 

 

 

Rilke

Sonnets à Orphée, Poésies d'amour

 

 

 

 

 

 

 

Roman 

Adam Thirlwell : Le Livre multiple

Miscellanées littéraires : Cloux, Morrow...

L'identification romanesque : Nabokov, Mann, Flaubert, Orwell...

Nabokov Loilita folio

 

Rome

Causes et leçons de la chute de Rome

Rome de César à Fellini

Romans grecs et latins

 

 

 

 

 

 

 

Ronsard

Pléiade & Sonnet pour Hélène LXVIII

 

 

 

 

 

 

 

Rostand

Cyrano de Bergerac : amours au balcon

 

 

 

 

 

 

Roth Philip

Hitlérienne uchronie contre l'Amérique

Les Contrevies de la Bête qui meurt

 

 

 

 

 

 

Rousseau

Archéologie de l’écologie politique

De l'argument spécieux des inégalités

 

 

 

 

 

 

 

Rushdie

Joseph Anton, plaidoyer pour les libertés

Quichotte, Langages de vérité

Entre Averroès et Ghazali : Deux ans huit mois et vingt-huit nuits

Rushdie 6

 

Russell

De la fumisterie intellectuelle

Pourquoi nous ne sommes pas religieux

Russell F

 

Russie

Islam, Russie, choisir ses ennemis

Golovkina : Les Vaincus ; Annenkov : Journal

Les dystopies de Zamiatine et Platonov

Isaac Babel ou l'écriture rouge

Ludmila Oulitskaia ou l'âme de l'Histoire

Bounine : Coup de soleil, nouvelles

 

 

 

 

 

 

 

Sade

Sade, ou l’athéisme de la sexualité

 

 

 

 

 

 

 

San-Antonio

Rire de tout ? D’Aristote à San-Antonio

 

 

 

 

 

 

 

Sansal

2084, conte orwellien de la théocratie

Le Train d'Erlingen, métaphore des tyrannies

 

Schlink

Filiations allemandes : Le Liseur, Olga

 

 

 

 

 

 

Schmidt Arno

Un faune pour notre temps politique

Le marcheur de l’immortalité

Arno Schmidt Scènes

 

Sciences

Agonie scientifique et sophisme français

Transhumanisme, intelligence artificielle, robotique

Tyrannie écologique et suicide économique

Wohlleben : La Vie secrète des arbres

Factualité, catastrophisme et post-vérité

Cosmos de science, d'art et de philosophie

Science et guerre : Volpi, Labatut

L'Eglise est-elle contre la science ?

Inventer la nature : aux origines du monde

Minéralogie et esthétique des pierres

 

 

 

 

 

 

Science fiction

Philosopher la science fiction

Ballard : un artiste de la science fiction

Carrion : les orphelins du futur

Dyschroniques et écofictions

Gibson : Neuromancien, Identification

Le Guin : La Main gauche de la nuit

Magnason : LoveStar, Kling : Quality Land

Miller : L’Univers de carton, Philip K. Dick

Mnémos ou la mémoire du futur

Silverberg : Roma, Shadrak, stochastique

Simmons : Ilium et Flashback géopolitiques

Sorokine : Le Lard bleu, La Glace, Telluria

Stalker, entre nucléaire et métaphysique

Théorie du tout : Ourednik, McCarthy

 

 

 

 

 

 

 

Self 

Will Self ou la théorie de l'inversion

Parapluie ; No Smoking

 

 

 

 

 

 

 

Sender

Le Fugitif ou l’art du huis-clos

 

 

 

 

 

 

 

Seth

Golden Gate. Un roman en sonnets

Seth Golden gate

 

Shakespeare

Will le magnifique ou John Florio ?

Shakespeare et la traduction des Sonnets

À une jeune Aphrodite de marbre

La Tempête, Othello : Atwood, Chevalier

 

 

 

 

 

 

 

Shelley Mary et Percy Bysshe

Le mythe de Frankenstein

Frankenstein et autres romans gothiques

Le Dernier homme, une peste littéraire

La Révolte de l'Islam

Frankenstein Shelley

 

Shoah

Ecrits des camps, Philosophie de la shoah

De Mein Kampf à la chambre à gaz

Paul Celan minotaure de la poésie

 

 

 

 

 

 

Silverberg

Uchronies et perspectives politiques : Roma aeterna, Shadrak, L'Homme-stochastique

 

 

 

 

 

 

 

Simmons

Ilium et Flashback géopolitiques

 

 

 

 

 

 

Sloterdijk

Les sphères de Peter Sloterdijk : esthétique, éthique politique de la philosophie

Gris politique et Projet Schelling

Contre la « fiscocratie » ou repenser l’impôt

Les Lignes et les jours. Notes 2008-2011

Elégie des grandeurs de la France

Faire parler le ciel. De la théopoésie

Archéologie de l’écologie politique

 

 

 

 

 

 

Smith Adam

Pourquoi je suis libéral

Tempérament et rationalisme politique

 

 

 

 

 

 

 

Smith Patti

De Babel au Livre de jours

 

 

 

 

 

 

Sofsky

Violence et vices politiques

Surveillances étatiques et entrepreneuriales

 

 

 

 

 

 

 

Sollers

Vie divine de Sollers et guerre du goût

Dictionnaire amoureux de Venise

Sollersd-vers-le-paradis-dante

 

Somoza

Daphné disparue et les Muses dangereuses

Les monstres de Croatoan et de Dieu mort

 

 

 

 

 

 

Sonnets

À une jeune Aphrodite de marbre

Barrett Browning et autres sonnettistes 

Marteau : Ecritures  

Pasolini : Sonnets du tourment amoureux

Phénix, Anthologie de sonnets

Seth : Golden Gate, roman en vers

Shakespeare : Six Sonnets traduits

Haushofer : Sonnets de Moabit

Sonnets autobiographiques

Sonnets de l'Art poétique

 

 

 

 

 

 

Sorcières

Sorcières diaboliques et féministes

 

 

 

 

 

 

Sorokine

Le Lard bleu, La Glace, Telluria

 

 

 

 

 

 

 

Sorrentino

Ils ont tous raison, déboires d'un chanteur

 

 

 

 

 

 

 

Sôseki

Rafales d'automne sur un Oreiller d'herbes

Poèmes : du kanshi au haïku

 

 

 

 

 

 

 

Spengler

Déclin de l'Occident de Spengler à nos jours

 

 

 

 

 

 

 

Sport

Vulgarité sportive, de Pline à 0rwell

 

 

 

 

 

 

 

Staël

Libertés politiques et romantiques

 

 

 

 

 

 

Starobinski

De la Mélancolie, Rousseau, Diderot

Starobinski 1

 

Steiner

Oeuvres : tragédie et réelles présences

De l'incendie des livres et des bibliothèques

 

 

 

 

 

 

 

Stendhal

Julien lecteur bafoué, Le Rouge et le noir

L'échelle de l'amour entre Julien et Mathilde

Les spectaculaires funérailles de Julien

 

 

 

 

 

 

 

Stevenson

La Malle en cuir ou la société idéale

Stevenson

 

Stifter

L'Arrière-saison des paysages romantiques

 

 

 

 

 

 

Strauss Leo

Pour une éducation libérale

 

 

 

 

 

 

Strougatski

Stalker, nucléaire et métaphysique

 

 

 

 

 

 

 

Szentkuthy

Le Bréviaire de Saint Orphée, Europa minor

 

 

 

 

 

 

Tabucchi

Anges nocturnes, oiseaux, rêves

 

 

 

 

 

 

 

Temps, horloges

Landes : L'Heure qu'il est ; Ransmayr : Cox

Temps de Chronos et politique des oracles

 

 

 

 

 

 

 

Tesich

Price et Karoo, revanche des anti-héros

Karoo

 

Texier

Le démiurge de L’Alchimie du désir

 

 

 

 

 

 

 

Théâtre et masques

Masques & théâtre, Fondation Bodmer

 

 

 

 

 

 

Thoreau

Journal, Walden et Désobéissance civile

 

 

 

 

 

 

 

Tocqueville

Française tyrannie, actualité de Tocqueville

Au désert des Indiens d’Amérique

 

 

 

 

 

 

Tolstoï

Sonate familiale chez Sofia & Léon Tolstoi, chantre de la désobéissance politique

 

 

 

 

 

 

 

Totalitarismes

Ampuero : la faillite du communisme cubain

Arendt : banalité du mal et de la culture

« Hommage à la culture communiste »

De Mein Kampf à la chambre à gaz

Karl Marx, théoricien du totalitarisme

Lénine et Staline exécuteurs du totalitarisme

Mussolini et le fascisme

Pour l'annulation de la Cancel culture

Muses Academy : Polymnie ou la tyrannie

Tempérament et rationalisme politique 

Hayes : Je suis Pilgrim ; Tejpal

Meerbraum, Mandelstam, Yousafzai

 

 

 

 

 

 

 

Trollope

L’Ange d’Ayala, satire de l’amour

Trollope ange

 

Trump

Entre tyrannie et rhinocérite, éloge et blâme

À la recherche des années Trump : G Millière

 

 

 

 

 

 

 

Tsvetaeva

Poèmes, Carnets, Chroniques d’un goulag

Tsvetaeva Clémence Hiver

 

Ursin

Jean Ursin : La prosopopée des animaux

 

 

 

 

 

 

Utopie, dystopie, uchronie

Etat et utopie de Thomas More

Zamiatine, Nous et l'Etat unitaire

Huxley : Meilleur des mondes, Temps futurs

Orwell, un novlangue politique

Margaret Atwood : La Servante écarlate

Hitlérienne uchronie : Lewis, Burdekin, K.Dick, Roth, Scheers, Walton

Utopies politiques radieuses ou totalitaires : More, Mangel, Paquot, Caron

Dyschroniques, dystopies

Ernest Callenbach : Ecotopia

Herland parfaite république des femmes

A. Waberi : Aux Etats-unis d'Afrique

Alan Moore : V for vendetta, Jérusalem

L'hydre de l'Etat : Karlsson, Sinisalo

 

 

 

 

 

 

Valeurs, relativisme

De Nathalie Heinich à Raymond Boudon

 

 

 

 

 

 

 

Vargas Llosa

Vargas Llosa, romancier des libertés

Aux cinq rues Lima, coffret Pléiade

Littérature et civilisation du spectacle

Rêve du Celte et Temps sauvages

Journal de guerre, Tour du monde

Arguedas ou l’utopie archaïque

Vargas-Llosa-alfaguara

 

Venise

Strates vénitiennes et autres canaux d'encre

 

 

 

 

 

 

 

Vérité

Maîtres de vérité et Vérité nue

 

 

 

 

 

 

Verne

Colonialisme : de Las Casas à Jules Verne

 

 

 

 

 

 

Vesaas

Le Palais de glace

 

 

 

 

 

 

Vigolo

La Virgilia, un amour musical et apollinien

Vigolo Virgilia 1

 

Vila-Matas

Vila-Matas écrivain-funambule

 

 

 

 

 

 

Vin et culture alimentaire

Histoire du vin et de la bonne chère de la Bible à nos jours

 

 

 

 

 

 

Visage

Hans Belting : Faces, histoire du visage

 

 

 

 

 

 

 

Vollmann

Le Livre des violences

Central Europe, La Famille royale

Vollmann famille royale

 

Volpi

Volpi : Klingsor. Labatut : Lumières aveugles

Des cendres du XX°aux cendres du père

Volpi Busca 3

 

Voltaire

Tolérer Voltaire et non le fanatisme

Espmark : Le Voyage de Voltaire

 

 

 

 

 

 

 

Vote

De l’humiliation électorale

Front Socialiste National et antilibéralisme

 

 

 

 

 

 

 

Voyage, villes

Villes imaginaires : Calvino, Anderson

Flâneurs, voyageurs : Benjamin, Woolf

 

 

 

 

 

 

 

Wagner

Tristan und Isolde et l'antisémitisme

 

 

 

 

 

 

 

Walcott

Royaume du fruit-étoile, Heureux voyageur

Walcott poems

 

Walton

Morwenna, Mes vrais enfants

 

 

 

 

 

 

Welsh

Drogues et sexualités : Trainspotting, La Vie sexuelle des soeurs siamoises

 

 

 

 

 

 

 

Whitman

Nouvelles et Feuilles d'herbes

 

 

 

 

 

 

 

Wideman

Trilogie de Homewood, Projet Fanon

Le péché de couleur : Mémoires d'Amérique

Wideman Belin

 

Williams

Stoner, drame d’un professeur de littérature

Williams Stoner939

 

 

Wolfe

Le Règne du langage

 

 

 

 

 

 

Wordsworth

Poésie en vers et poésie en prose

 

 

 

 

 

 

 

Yeats

Derniers poèmes, Nôs irlandais, Lettres

 

 

 

 

 

 

 

Zamiatine

Nous : le bonheur terrible de l'Etat unitaire

 

 

 

 

 

 

Zao Wou-Ki

Le peintre passeur de poètes

 

 

 

 

 

 

 

Zimler

Lazare, Le ghetto de Varsovie

 

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