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11 mars 2020 3 11 /03 /mars /2020 18:13

 

Museo Goya, Zaragoza, Aragon. Photo T. Guinhut.

 

 

 

 

 

La Bibliothèque du meurtrier.

 

Roman

 

I L’artiste en maigreur.

 

 

 

      C’était l’heure vivante, profuse et bruissante du vernissage des Figures du jeune Jonas Melville. Figures II plus exactement. Après celles sous-titrées « Masques d’art » qui avaient stupéfié critiques et collectionneurs quand elles singeaient les visages archi-connus de l’Histoire de l’Art en leur coinçant des sourires d’ironies dans leurs statures de branchages cloués et sculptés, il s’agissait maintenant des « Trognes d’art » soumises à de grimaçantes, affreuses, burlesques et pitoyables ébriétés étirées. Petits fours  glacés minimalistes, huitres froides en gelées miniatures, champagnes frappés, fontaine de whisky sur icebergs, rien ne réfrénait l’ardeur au pillage, l’ardeur à imiter le déglingage des Figures II de Jonas Melville. Ce dernier d’ailleurs, tordait sa maigreur de rire silencieux devant la naïveté des gogos à qui il confiait sous couvert de discrétion dévastée, le foutage de gueule de l’art, de son art…

      N’empêche, ça banquait. Inès de Sommerville, sa galeriste, mi-suédoise, mi suissesse, savait ne pas avoir le moindre rictus d’ironie, sur sa face coupante de beauté accro au jogging intense et à la sculpture fildeferesque, lame de couteau et autres métaux agressifs. Cette demi-entorse à son esthétique favorite avait été dès le départ un investissement prolifique. Depuis que le gros critique d’ArtbookOne, James Columna, avait hurlé à « l’anorexie sculpturale », la production de ses poulains marchait au pas de charge. Avec les Figures I, que le même James Columna avait qualifiées de « déforestation anartistique », puis avec celles qu’il honorait ce soir de sa présence boulimique en dévastant la table des petits pâtés au rhum, et qu’il se proposait in petto de surnommer « les torsions gastriques du capitalisme », tout en remarquant « leur qualité d’autoportraits originels », les cartes American Express gold, platine et diamant claquaient sous l’impatience des ongles. Les grimaces de l’art n’échappaient pas à la rapacité des servants de l’art : marchands ostentatoires, conservateurs en vue et collectionneurs secrets. Inès de Sommerville rayonnait de confiance : son Jonas Melville n’avait qu’à creuser le filon, étirer le fil d’or qui lui naissait naturellement des phalanges…

      Evidemment, il était déjà demi-fin beurré au Muscadet de Loire, sentant fort le joint marocain dont le suc imprégnait la trame de ses vêtements effilochés, collés de sciures et de copeaux, comme s’il sortait à l’instant de son atelier, en plein délit de sale gueule de la création. On l’entourait, on se collait à lui, histoire de lui chiper un copeau signé, on le congratulait, le questionnait sans écouter les réponses, glissant un œil à celui qui ne dérogeait pas sa règle immuable : ne jamais parler à l’artiste, regarder l’œuvre, rien que l’œuvre, conceptualiser en un silence sibyllin, bouffer et produire une chronique aussi phare que ciselée, en un mot inimitable. James Columna produisait en effet du concept à la même vitesse que les pores de sa peau de porc rubescente scintillaient de graisse. Ce n’était pas pour rien qu’il avait été surnommé le Gros Lucky Luke de la critique : il conceptualisait plus vite que son ombre, pourtant généreuse, mais à la condition unique, mystérieuse à souhait, que l’artiste entrât dans les grâces augustinienne de sa révélation. Il faut d’ailleurs lui rendre justice ; s’il ne résistait jamais au raffinement d’un nouvel amuse gueule charcutier, il n’était en rien vénal.

      Cette fois, les vingt et une Figures avaient été prévendues avant même l’extinction des flashes du vernissage. Il avait fallu ramener Jonas Melville à son loft-taudis en le supportant sous ses osseuses aisselles aux puanteurs du pire aloi. Quand, le vendredi suivant, la chronique de Columna parut en pleine page, auréolant l’artiste de la gloire du « Junkisme sur bois », toutes les cartes purent être débitées conformément aux promesses d’achat. La couverture glacée du magazine format in folio -il était du dernier chic d’exhiber ce malcommode format- offrait à qui voulait l’entendre une resplendissante photographie de la « Trogne d’art 21 », immense cep de vigne noueux, élongation de corps aux membres scarifiés, aux veines christiques piquées de traces de seringues, au faciès déchiré par une bouche d’hémiplégique tombée à gauche, tout cela comme lacéré de l’impatience de dizaines de coups de serpettes, de l’urgence de cent peinturlurages vineux et spiritueux…

      La gloire avait frôlé de son aile magique la jeunesse de Jonas Melville. Quoique pas au point de figurer sur les magazines people qu’il feuilletait à la recherche vaine jusque là de son look imitant son art. Il lui avait suffi d’exposer deux « Trognes » dans un salon d’amateurs de province un rien bohême de seconde zone pour qu’Inès de Sommerville, toujours à l’affut de talents imberbes, lui propose, lui commande, exige une série plus conséquente. Soudain, il était pété de fric ; le fric faillit achever de le péter. Une overdose de whisky Œil de perdrix et de pétards jamaïcains du dernier renom, le conduisit aux urgences, sur un lit à peine plus gris que lui, dans des draps qu’Inès de Sommerville, effarée à la pensée de devoir perdre prématurément son juteux poulain, imagina dans sa première vision mystique voir préfigurer un suaire de Mantegna visitant Auschwitz. Elle fut encore plus surprise de voir, au chevet du malheureux, une inconnue, une petite femme, un brin boulotte, en chemisier blanc à col Claudine, jupe de pensionnaire et serre-tête de miss prout-prout sur chignon parfait. Plus effarants lui parurent les vernis noirs à talons plats qui achevait de donner un look grave extraterrestre à celle qui se leva cérémonieusement à l’arrivée de la galeriste avec un « A qui ai-je l’honneur ? » de réception au Pensionnat de la Légion d’Honneur. Une fois informée de la qualité à qui elle parut donner son assentiment, elle se présenta comme l’épouse du malheureux gisant : Anne-Caroline Melville, artiste en maisons de campagne.

      Alors là c’était le total bouquet ! Jonas était marié ; et à une telle poularde encore… Il battit des cils sur son palier de décompression, leva sa main grêle au poignet orné de perfusions pour la poser dans la petite pogne sévère, quoique aimante, de sa moitié. Jonas Melville allait suivre une cure de désintoxication, je puis vous l’assurer, chère Madame, affirma, un rien péremptoire, la poularde aux joues rondes et crèmes ; d’ailleurs il travaille déjà sur les croquis -fusains et sanguines- de Figures III. Veuillez-nous laisser, je vous prie.

      Trois mois plus tard, Inès de Sommerville fut introduite dans l’atelier de Jonas Melville. Visiblement, Anne-Caroline, qui lui ouvrit la porte de zinc, avait fait un ménage ravageur dans le loft-taudis. L’odeur de bois sec, de palettes lavées à grande eau, d’outillage inoxydable, stérilisé, et de pervenche bleue flottait dans l’air. Jonas, en salopette bleu ciel, rasé de presque frais, droit comme un poutre à longue portée, aurait pu figurer dans un tableau représentant l’atelier de Joseph le charpentier ; même le verre indiscutable de Muscadet de Loire aurait pu y sembler être un bénitier de table. De plus, il paraissait un huitième moins maigre ; ses pommettes ressemblaient un peu moins à des tendons. Inès de Sommerville, eut peur un instant que la poularde aux seins amidonnés sous le corsage lui ait cassé son look.

      Heureusement, les esquisses étaient là, vingt-trois à la parade, dressées contre la tôle du mur avec des épingles à linge en bois de bouleau. Jonas restait fidèle, comme Verlaine, à l’impair. La machine à calculer qui doublait le sens artistique d’Inès de Sommerville, cliqueta dans le lobe droit de son cerveau. Vingt-trois « Sanguine et charbon » en format grand-aigle, hyper bourrées de graphismes à La Greco resserrés au milieu d’un pur blanc angoissant, voilà qui devrait banquer. Columna allait saliver de la boite à conceptualiser. Elle rédigeait déjà mentalement l’entretien qu’elle allait donner à Pluriel des Arts, en jouant sur la comparaison entre l’artiste couché sur son lit d’Urgences et les Figures III debout sur le blanc du grand-aigle, même si au passage elle avait un peu réécrit la couleur des draps.

      Avant de repartir plus que satisfaite de la promesse de son poulain de se mettre dès le lendemain à la première figure sculptée parmi la succession des 23 Figures III, Inès de Sommerville omit de voir sur le mur opposé, quoique l’artiste en herbe n’en eût pas fait montre, les peintures à l’huile, fort niaises et fort fleuries, des maisons de campagne d’Anne-Caroline, comme d’exactes petites photos surchargées de patouilles jolies…

      Réflexion faite, de retour en sa galerie où elle exposait les bombes de corps humains plastifiés de Ruben Abdelwaman, Inès de Sommerville s’étonna qu’il n’y ait pas eu d’esquisses pour Figures I et II. Quel manque à gagner scandaleux. Peut-être pourrait-elle lui suggérer de les antidater…

      Elle revint lorsque Jonas affirma avoir terminé. Quinze jours seulement étaient passés. Quelle productivité affolante ! Il ne faudrait pas confondre abondance et multiplication des petits pains en solde… L’atelier, cette fois, était hanté par l’absence d’Anne-Caroline, dont les tableautins luisaient dans l’ombre comme la bave d’escargot après la pluie. Quelques baquets de bois aux bouteilles de Muscadet de Loire témoignaient d’une consommation ireffrénée. Quelque raout familial et provincial devait occuper sa bourgeoise… Sans compter qu’une odeur entêtante de joint surgoudronné respirait convulsivement dans les cintres… Jonas, sans qu’on lui en demande compte, attribua la chose à une légère inquiétude : sa Princesse venait d’être admise à la maternité. Quoi ! la truie Madame Figaro était enceinte, allait accoucher par les voies naturelles ; fi donc ! Inès se surprit à n’être guère accro à la charité chrétienne et se corrigea en imaginant que son poulain pourrait bénéficier d’une telle info dans son carnet mondain. Surtout ne pas se faire oublier…

      Quand Jonas, rasé comme le maquis corse, et cette fois en veine de mise en scène, tira un long rideau de lin grège -une trouvaille d’Anne-Caroline, sûrement- et découvrit les vingt-trois Figures III. Elle ne put retenir un hoquet de stupéfaction. Ce n’étaient que longues buches de peuplier debout, parfois écorcées, lacérées, scarifiées, discrètement barbouillées à la diable, pour lesquelles elle se demanda s’il avait suffi de les réceptionner à l’arrivée à la scierie, faute d’autre travail. Elle écarta bien vite cette duchampienne pensée, quoique exploitable après tout, en vérifiant la relative congruence des esquisses avec les sculptures qu’il faudrait exposer ensemble, de façon à confirmer la continuité du processus créateur.

      Le vernissage des Figures III avait été étudié avec le meilleur charcutier-traiteur de la capitale. En effet, le buffet fut un succès. Columna loua les magrets de cailles en gelée et les cœurs de pigeons à la confiture, non sans regarder d’une œil torve et cependant placide un butor qui ressortait devant les esquisses et les bois l’antienne : « Mon gosse de cinq en ferait autant s’il avait des muscles de bucheron et des bras assez longs pour tirer au fusain… ». Jonas Melville avait en effet -ce qui était rien moins que nécessaire- de longs bras tendineux, plus fuselés que les bouteilles d’Alsace blanc qui le charmaient par leur nouveauté acidulée. Il y eu des commentaires élogieux sur la façon dont les sanguines graphiques s’enlaçait aux muscles supposés du fusain, mais en quantité inversement proportionnelle aux promesses d’achat. Inès de Sommerville faillit piquer un embryon de crise d’angoisse, jusqu’à ce qu’Alastair Bishop sorte son chéquier pour acheter les vingt-trois esquisses. Voilà bien de l’argent facile qui allait glisser dans les poches du jeune chargé de famille. Hélas, les Figures III en elles-mêmes parurent être boudées par les acheteurs. Elle voulu se rassurer en sachant combien l’initiative de Bishop serait productive et, surtout, combien l’imagination conceptuelle de Columna serait payante.

      Hélas, trois numéros après la clôture de l’expo des Figures III, Columna, boudeur, ne vint à parler, dans un articulet de bas de page, en fin de cahier, que de « minimalisme étique », formule dont on ne sut si c’était du lard ou du cochon… Un musée miteux de Lichtenfeld consentit à acheter trois bouts de bois. Heureusement Inès de Sommerville venait de faire un carton avec Slima Vendoye et ses tubes de peintures géants d’où sortaient des houris, des geishas et des playmates plastifiées aux formes girondes. Qui pour Columna, en couverture et en première page du même numéro, signifiaient « la fin du totalitarisme anorexique », « la transculturalité de l’érotisme », « l’antitalibanisation du monde »… Cette fois le bougre n’avait pas été chiche de formules à succès offertes à une sculptrice qui savait manier les rondeurs à souhait. Il avait bien mérité ses médaillons de foie et d’abats au Champagne, dont l’un d’ailleurs avait malencontreusement chu d’entre ses doigts boudinés pour orner le revers généreusement convexe de sa veste jusque là veuve de toute palme académique.

      Inès de Sommerville ne voulut pas se décourager. Jonas Melville avait eu une éclipse, une faiblesse passagère. Qui sait si l’on pouvait imaginer une lutte entre le courant anorexique et le courant boulimique, le second incarné par Slima Vendoye et le premier désincarné par un Jonas Melville, le Retour IV…

      Elle demanda une nouvelle série d’esquisses. Des sculptures plus travaillées. Jonas, évasivement, promit. Tout en arguant qu’il allait pas se casser le cul pour trois mille euros, non ? Inès, langue de vipère plus qu’agile, rétorqua que mille euro par bout de bois ramassé dans un fossé de forêt, ça ne se trouvait pas sous le cul d’un âne, si l’on voulait continuer à être foutument vulgaire… Toutes façons, sa Princesse se faisait trois cents euros, par tableautin, votre baraque de cambrousse, repimponnée en huile sur toile à l’ancienne. L’art c’était plus que de la merde. Autant l’étirer jusqu’à l’os. Au boulot, mec, et que ça saute ! le stimula Inès à court d’arguments. Qu’importe le vin pourvu qu’on ait l’ivresse, se dit-elle, pensant que la voix du sculpteur était passablement avinée, et repensant à l’argument duchampien qui pourrait toujours resservir. Rendez-vous fut pris pour le mois suivant.

 

Alberto Giacometti, Kunsthaus, Zurich, Schweiz. Photo : T. Guinhut.

 

 

      Pendant ce temps, Bishop prêtait les esquisses de Figures III au Musée d’Austin. Quand Jonas lut cela dans la presse spécialisée, lui qui n’était même pas invité, il vitupéra comme une Furie contre un pignouf friqué qui allait revendre ses esquisses, ses esquisses à lui, au moins trois fois ce qu’il les avait payées, sans même un petit pourcentage au créateur qui s’était déchiré le sang pour pondre ces assomptions du corps, que ce capitaliste de merde comprenait rien aux métaphores et qu’il lui pissait à la raie.

      Inès de Sommerville reposa son Smartphone dans le silence pudique de son sac croco aux bijoux palpitants. S’il me faisait une telle scène auprès d’une nouvelle génération de Figures énergiquement travaillées, voilà qui pourrait être payant, qui pourrait faire génie outragé. Il faudra le fournir en Muscadet, Alsace et autres Chianti lors du vernissage de Figures IV le Retour.

      À l’heure du rendez-vous, Anne-Caroline en personne et en vichy bleu et blanc vint ouvrir la fatale porte de zinc à Inès. D’autorité, elle fit résonner le cuir et cuivre de ses bottillons La Troba sur le béton du loft briqué comme le pont d’un navire école de la grande époque. Après quelques généralités inaudibles, Inès lorgnant sur le fameux rideau théâtralement fermé, ce fut Anne-Caroline, le bébé au sexe non identifié vagissant sur bras et son ventre, qui ouvrit la gloire des Figures IV. Elles n’étaient qu’onze. C’étaient des stèles de bois dont les membres étaient des collages alternés de pied de fauteuils Louis XV et de branches, la tête étant figurée par une pancarte de planche, sur laquelle on pouvait lire un mot gravé: « vue, toucher, ouïe, goût, odorat, corps, esprit, anorexie, boulimie, nature, culture », onze mots donc pour ces Figures IV qui ne différaient par ailleurs que par la forme aléatoire des branches.

      Prudente, Inès garda une mutité méditative. Anne-Caroline avait son regard bovin. Peut-être que cela pourrait emporter l’adhésion. Les esquisses à la Twombly entrelaçaient des graphismes corporels avec chacun des mots comme avec des fils de fer barbelés. Une fois trouvée l’idée, cela avait dû prendre deux après-midi. De toute façon Inès avait réservé une quinzaine à Jonas Melville, puisque Slima avait du retard dans sa nouvelle livraison, et Bishop voulait d’autres esquisses. Jonas parut faire une trogne de poireau déterré lorsqu’avec circonspection Inès objecta que, peut-être, onze Figures, c’était un peu maigre. Que la vastitude de sa galerie réclamait plus d’abondance. D’accord. Elle n’insista pas. Elle n’informa le couple qui était resté plus muet qu’une huitre scellée (il devait y avoir de l’eau dans le gaz) de sa décision d’exposer conjointement, et sur le mur immense du fond, en vis-à-vis, les esquisses tout en rondeur de Slima Vendoye, généreuses en pastels gras, riches en couleurs méditerranéennes et orientales.

      Cette fois, Jonas Melville ne s’était pas déplacé pour installer ses filiformes avortons. Il ne livra qu’un vague croquis d’archi sur une nappe de papier imbibée d’auréoles de pinard blanc. Indications chaotiques et fractales dont Inès eut de la peine à tenir compte, lorsque les manutentionnaires, aux biceps exagérément tonitruants pour la légèreté étique des Figures IV -qui faisaient panneaux de signalisation de brocante forestière- les posèrent sans coup férir en rang d’oignons devant l’accrochage des esquisses. En face, l’explosion milletunenuitesque des créatures de Slima Vendoye, soutiens-gorges béant du magma colorés, lèvres de toutes natures parlant toutes les langues babéliennes du désir et de l’exhibition fit visiblement bander l’érection d’un des deux bleus de travail. Ce dont Inès n’eut que le fantasme d’un instant de profiter : elle était en effet lesbienne strictement auto-masturbatrice, et encore les seuls soirs de pleine lune. Gardant son habituel sang froid, elle se demanda si le rachitisme revendicateur des Figures IV s’accommodait bien du néo-kitsch des pieds Louis XV qui leur servait de membres droits. N’empêche que, vis-à-vis des truculentes volutes carmin de Slima Vendoye, cela pouvait passer pour un clin d’œil, une ironie triste.

      Columna adora les Esquisses pour Femmes Sensuelles de Slima. Au point d’embrasser l’artiste, plus ronde et agile qu’une délicieuse multiplication de seins et de fesses, sur les sourires de ses deux joues, ce qui fit craindre à Inès de Sommerville, qui ne se laissait jamais aller à de telles érections d’émotions, que les rots de truffe qui tenaient place de diction au critique n’incommodassent l’intéressée. Il parut errer méditativement parmi les Figures IV, palpant un instant les courbes de bois Louis XV, puis l’écorce brute des branche squelettiques et distordues. Etait-ce bon signe ? ArtBookOne allait-il leur rendre justice ? Jonas Melville était debout, plus boudeur qu’un iguane, parmi ses bois, au point de confondre son dégueulé de tee-shirt caca de saurien non identifié avec les écorces.

      Evidemment, ArtBookOne fit sa couverture avec une esquisse de Slima Vendoye. Inès fut à la fois comblée (c’était sa deuxième première de couv en un an, fait rarissime s’il en fut) et affectée d’un insidieux pincement de déception. Sa galerie avait révolutionné son image autant que son écurie, elle avait su sentir, disait-on, une radicale évolution des mœurs et des looks (Elle et Vogue se mirent alors à afficher des rondes), mais elle restait physiquement aussi coupante, quoiqu’elle tentât de faire ballonner ses seins de pigeon blême sur le bustier… Qu’importe, elle était fêtée comme l’icône d’une nouvelle sensibilité. Un coup de chance, sa secrétaire assistante, partant en congé de maternité, puis parental, lui permit d’embaucher une nouvelle façade de galerie au corps nettement plus slimanesque.

      Quand aux Figures IV, elles reçurent l’hommage modéré d’une photo en colonne de droite, en page onze s’il vous plait, assortie d’un commentaire prudent de Laurence Bissuel, l’assistante de Columna, qui parla de « néo-conceptualime » et de « schizophrénie alimentaire entre nature et culture » ; ce qui était fichtre mieux que rien. Les Guggenheim de Bilbao et de New-York se disputèrent les Slima dont les reproductions s’arrachaient en format couverture, cartes postales, imprimés pour tee-shirts, droits de reproductions à la clef (Inès de Somerville n’avait pas pour rien une formation de fiscaliste internationale). Las, seul Bishop, dont la fidélité était décidemment à toute épreuve, consentit à proposer 30% du prix affiché pour les onze esquisses de Jonas, qui entra dans une rage purulente, déversant sa bile noire dans le bureau d’Inès, pourtant imperturbable. Elle préparait déjà mentalement le one woman show de Slima, douze nouvelles esquisses et vingt-quatre sculptures, toutes plus gourmandes et charnues les unes que les autres, toujours jaillissant, comme le génie des contes, de leurs tubes de gouache, d’acrylique et d’huile…

      Bien qu’ayant déjà reçu ses 15 % essorés depuis le compte de ce Bishop pourtant providentiel qui ne collectionnait que les dessins sur grand aigle (les Figures IV avaient beau regarder le mur de leur œil plat, aucune indécision de vente ne s’était profilée), Jonas se présenta bien peigné, mouché, un tee-shirt propre, devant Inès de Sommerville pour lui demander une avance. Eh oui, Anne-Caroline s’était habituée au luxe, elle habillait leur fils chez Tartine et Chocolat, elle était enceinte du deuxième, elle pensait déjà à une Grande Ecole de Commerce pour le fils, à une Grande Ecole d’Art pour la fille à venir… De plus, sa Princesse lui faisait découper, monter, peindre des meubles imaginatifs en forme de fleurs pour les chambres de bébés, pendant qu’elle ornait d’hortensias les contremarches, il n’avait plus le temps de créer, mais il allait se reprendre, promis, il allait scratcher une expo du tonnerre pour l’automne, balançant sur le bureau de teck une esquisse grand-aigle giclée sur nappe de restau à deux balles d’un corps auschwitzien, allez quoi, fais pas ta bégueule !

      Elle lui consentit deux mille euros d’à valoir. Une fois le drôle passé la porte de verre fumé - il alla directissime se jeter deux vodka-téquilas, ce qu’elle fit consciencieusement vérifier dans le bar d’en face par Lucie - elle se demanda ce qui lui avait fait déroger à sa règle jusque là pourtant immuable. Jonas était-il le dernier symbole d’une jeune génération fidèle à ses idéaux, alors que ses sculpteurs métal avait tous emboité le pas à la rondeur et au gras ? Les sociologues s’arrachaient jusqu’aux poils des aisselles pour tenter de comprendre quelle soudaine inhibition avait sauté, quelle soudain antipuritanisme corporel et écologique avait été balayé par une festivité sans complexe… O tempora o mores, ô combien les modes les plus solidement et longuement accrochées pouvaient s’évaporer en un instant ! Les caprices du succès étaient décidemment insondables. Slima et Jonas étaient-ils les seuls artistes réellement authentiques ? Elle ne s’était pourtant pas fait faute de ne pas exiger de ce dernier qu’il invente fissa une nouvelle manière, tout en gardant son esthétique maigre, comme marque de fabrique d’une héroïque et vertueuse résistance politique.

      Personne en effet ne voulait plus entendre parler d’Auschwitz, les mannequins anorexiques n’avait plus qu’à se repulper d’abondance les chairs, manger du cassoulet de Castelnaudary, se maquiller au foie gras des Landes, faute de quoi il ne leur restait plus qu’à se faufiler entre deux affiches de l’année dernière et disparaître.

      Jonas ouvrit lui-même la deux fois fatale porte de zinc. Il avait les mains bandés de linge blanc et de sang. Oui, Anne-caroline était à la maternité, il avait pu travailler entre deux courses pour sa Princesse. Il laissa le soin à Inès de Sommerville de tirer le rideau de lin grège. Il n’aurait pas fait bon le souiller…

      Visiblement, il venait de terminer de tordre autour de sept branches un lacis cruel de fil de fer barbelé. C’étaient les Figures V. Deux mètres cinquante de souffrance sept fois répétée. Certes. Mais c’était un peu nu. Que faire de ça ? se rongeait Inès de Sommerville, perplexe, debout près d’un cageot de bouteilles de téquila plus vides que les yeux de celui qui n’a plus de larmes. Jonas paraissait fier de lui, de ses impeccables réalisations, les poings dans ses chiffons sanglants posés sur ses genoux cagneux. Il était en short, la climatisation devait être en panne, il faisait une chaleur de rat, les huiles d’Anne-Caroline, dans leurs cadres chichiteux, paraissaient suinter. Inès frissonna dans sa mini jupe Zefirella.

      Enlève tes pansements, lui ordonna-t-elle. Enroule-les dans les barbelés. Bien. Il n’en manquera plus que cinq autres. Voilà, ça parle comme ça.

 

Krimmler Ache, Salzburg, Osterreich. Photo T. Guinhut.

 

      De retour dans son bureau, elle se dit rageusement qu’il lui fallait tout faire elle-même, que le Hard Art allait pouvoir contrer ce boulimisme qui rapportait pourtant une fortune à sa galerie et parmi laquelle l’avance consentie à Jonas pouvait passer en pertes et profits fiscaux. Ou c’était un cas psychiatrique, ou c’était un visionnaire. Peut-être la boule de l’obésisme allait-elle se dégonfler. Même si elle n’avait pu obtenir plus de sept Figures V, chiffre mystique, certes ; tu veux que je m’arrache les mains pour ton fric ? Prends des gants ! Non ; où serait la performance ? Un coin de galerie suffirait, au devant d’une expo rétrospective de l’Art Fer pour faire hurler l’Obésisme en cours, avant les nouvelles Déesses Mères de Slima…

      Heureusement elle avait les dix esquisses, sanguines et pastels secs. Une fois encadrées bois mince, exposés à très peu d’intervalle comme un polyptique à la Grunenwald, ces couronnes d’épines contemporaines, déroulées et dressées pouvaient être splendides. Elle avait dû signer un chèque, encore deux mille euros, tu comprends, ma Princesse Anne-Caroline, les dettes, les agios ; tu comprends, l’argent de poche qu’elle se fait avec ses huiles ne peut pas lui suffire… Il suffisait bien à cacher à la Princesse aux cols Claudine les nombreux cactus pressés pour sa consommation de téquila.

      La rétrospective Art Fer ne vit même pas paraître Columna. Il avait envoyé Bissuel qui commençait à se prendre pour le disciple abusif. Il traita les sphéroïdes aux méridiens et parallèles acérés de Miztlo par le mépris, les boites de conserve géantes et déchirées de Cabalira par l’indifférence. Ce jeunet qui ne savait pas voir et se prenait pour l’hémorroïde du monde s’arrêta devant les Figures V de Jonas Melville. Il se retint de parler pour avoir l’air profond, pianota quelques notes illisibles sur son Iphone, ce que Columna ne faisait jamais, imita son maître au buffet avec une gourmandise salopiote de chien fou déjà rassasié.

      Cabalira et Mitzlo furent sabrés dans ArtBookOne. Seul Jonas eût droit à une photo d’une des Figures V devant esquisses. « Signatures de l’acte de décès de l’Art Fer et de l’Art Maigre » avait titré le claviphoniste. Il rapporta quelques interjections de Jonas, qui s’était répandu contre « le gras suintant du capitalisme qui crucifie les os de la pauvreté mondiale », et portait le coup fatal au travail de « l’ex-artiste » qui avait eu « l’idée grotesque, mélodramatique et superfétatoire, d’ajouter ses linges ensanglantés. La nudité du bois et du barbelé eût été préférable, euphémisme suffisant ».

      Inès s’en était pourtant vaguement repentie, sans oser se déjuger devant Jonas. Elle était une excellente galeriste, pas une créatrice, elle le savait. Seul un article de La Croix parut être sensible, reprochant lui aussi l’ajout saugrenu des linges, regrettant cependant que les figures n’aient pas été treize, onze tournée vers une plus haute figures centrales et la treizième détournée… Suggestion intéressante, pensa-t-elle ; qui sait si quelqu’une de ces nouvelles églises en construction et fortunées comme il en pullule aux Etats-Unis n’aurait pas pu acheter ces Figures V ainsi conçues. Tachons de convaincre notre poulain…

      Alors que sa Princesse allait à la messe, Jonas Melville ne fut guère sensible à l’attention. « Un canard catho à la con pour des grenouilles de bénitier et pour des gras prélats qui tripotent les bites des gosses ! Qu’ils aillent se chier avec leur critique à la con », hurla-t-il en pleine biture téléphonique. Le fait, incontournable, qu’aucune de ces Figures V n’ait vu l’ombre d’un chéquier en vol, ne parut pas le chatouiller. Seul Bishop rafla les dix esquisses. Celui là, flair aiguisé, bien qu’il achetât (vingt fois plus, s’il vous plait) les esquisses de Slima, pariait sur le long terme. Hélas le prix de vente effaçait tout juste l’ardoise de Jonas qui geignit pire que ses deux mômes en couches en se retournant contre les chiffons menstruels pourris qui lui avaient fait rater une vente… Il me faut du fric, cash, banco, tout de suite, la banque me colle au train, t’inquiète, dans un mois ou deux, ou trois, ou quatre, tu as les Figures VI, ça va déchirer grave, je vais crever les abcès purulents du capitalisme financier…

      Après cinq mois de silence radio, alors qu’Inès songeait l’oublier, Jonas lui proposa une visite d’atelier comminatoire. Mais avec seulement trois Figures VI, ça tournait à l’esthétique du raté en grandes largeurs. Des palettes debout couronnées de barbelés, le truc fait à la sauvette entre deux stages de déco pendouillerie pour la Princesse, avec un sous-titre prétentieux : « La Sainte Trinité ». Elle afficha un sourire diplomatique, alors que le créateur baignait dans l’auréole des joints d’une semaine qui flottait sous la verrière embuée. La Princesse, Vénus du ménage et Alma mater du pouponnage était partie - une semaine justement - chez grand-mère pour faire entendre les premiers mots échangés par les deux héritiers. Il demanda posément cinq mille euros, encore les banques, l’étrangloir du peuple, tu sais… Il comprit, devant le calme de sa galeriste qu’il fallait la jouer fin… Pourtant, muselé par le relent d’alcool qui lui sirupait la langue, il s’emmêla en jurant que c’était des esquisses, que bientôt cette « Sainte Trinité » en cours d’assomption allait accoucher d’une flopée d’Anges pour étoffer ces Figures VI. Attendons de voir, se contenta d’émettre Inès avant de franchir la fatale porte de zinc dans le bon sens. Cinq mille anges, geignait-il au fond de son fauteuil de feignasse tourmenté par une Princesse absente autant que tyrannique…

      Un an plus tard, plus maigre et zombi que jamais, Jonas Melville, apparut devant le bureau de marbre clair de la galeriste, dont l’emploi du temps était plus chargé qu’un camion benne. Le carton grand aigle qu’il charriait avait failli le déporter comme un voilier au vent de la rue. C’était enfin une dernière Figure VII, pitoyable, sept mille euros, zézéyait-il, un crabouilli-bouilla plutôt qu’une esquisse. Il sortit de lui-même, chiffonnant sa création en refermant le carton, se prenant avec sa voilure démesurée dans la porte de verre du bar d’en face. Inès de Sommerville, cessa immédiatement de penser à son ex-poulain alors que Slima rayonnante, pleine d’humour venait lui offrir un polyptique de douze petits pastels gras, adorable, regorgeant de viandes exotiques et confites, sous les yeux d’un Columna gourmand et amusé…

      C’est dans la presse quotidienne, celle qui se démode dès le lendemain, au cœur de l’hiver suivant, qu’un articulet nécrologique apprit à Inès Sommerville que Jonas Melville avait été retrouvé derrière sa porte de zinc, couché maigre et nu sur une palette, mal lié de fil de fer barbelé, visiblement de ses propres mains, probablement dans l’imagination de réaliser une impossible Figure VIII, en état de choc alcoolique. Il était mort pendant le transport en ambulance, laissant une jeune veuve éplorée et deux bambins.

      La galeriste, qui avait su prendre ce qu’il fallait d’un léger embonpoint, et dont les expositions Slima et Gudrun Solveig faisait courir jet set et critique internationale de Sydney à Los Angeles, sans compter Bâle et Kassel, crut l’histoire à jamais close, quoique regrettant de n’avoir rien conservé du regretté Jonas Melville. Car le rusé Bishop venait de revendre au nouveau Musée Religieux de Houston deux esquisses pour le prix qu’il avait payé naguère pour onze… D’ailleurs restait-il quelque chose de valable derrière cette saloperie de porte de zinc, à part des huiles aux maisons de campagnes hortensias pour petits poneys? Quand, un matin, une Anne-Caroline pimpante en col Claudine, ses gros seins plaqués sous le chemisier fleuri, accompagnée par un Monsieur silencieux à faciès éminemment sérieux, rasé plus frais qu’une eau de Cologne, lunettes cerclées d’or et costume croisé anthracite de fondé de pouvoir d’une banque impérieuse, qui lui tenait la main et lui jetait de respectueux regards énamourés, vint s’asseoir devant le bureau de marbre rose aux fossiles bleutés d’Inès de Sommerville. A quelles conditions, chère Madame, exposeriez-vous, quelques-unes des cent trente-sept esquisses grand aigle que j’ai conservées par devers le malheureux Jonas ?

Thierry Guinhut

Une vie d'écriture et de photographie

La Bibliothèque du meurtrier, roman : synopsis, sommaire, prologue

 

Villa Foscari, Mira, Veneto. Photo : T. Guinhut.

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Sollers : Vie divine et Guerre du goût

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Fuentes

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Crescendo du temps et amour faustien : Anniversaire, L'Instinct d'Inez

Diane chasseresse et Bonheur des familles

Le Siège de l’aigle politique

 

 

 

 

 

 

 

Fumaroli

De la République des lettres et de Peiresc

 

 

 

 

 

 

Gaddis

William Gaddis, un géant sibyllin

 

 

 

 

 

 

Gamboa

Maison politique, un roman baroque

 

 

 

 

 

 

Garouste

Don Quichotte, Vraiment peindre

 

 

 

 

 

 

 

Gass

Au bout du tunnel : Sonate cartésienne

 

 

 

 

 

 

 

Gavelis

Vilnius poker, conscience balte

 

 

 

 

 

 

Genèse

Adam et Eve, mythe et historicité

La Genèse illustrée par l'abstraction

 

 

 

 

 

 

 

Gilgamesh
L'épopée originelle et sa photographie


 

 

 

 

 

 

Gibson

Neuromancien, Identification des schémas

 

 

 

 

 

 

Girard

René Girard, Conversion de l'art, violence

 

 

 

 

 

 

 

Goethe

Chemins de Goethe avec Pietro Citati

Goethe et la France, Fondation Bodmer

Thomas Bernhard : Goethe se mheurt

Arno Schmidt : Goethe et un admirateur

 

 

 

 

 

 

 

Gothiques

Frankenstein et autres romans gothiques

 

 

 

 

 

 

Golovkina

Les Vaincus de la terreur communiste

 

 

 

 

 

 

 

Goytisolo

Un dissident espagnol

 

 

 

 

 

 

Gracian

L’homme de cour, Traités politiques

 

 

 

 

 

 

 

Gracq

Les Terres du couchant, conte philosophique

 

 

 

 

 

 

Grandes

Le franquisme du Cœur glacé

 

 

 

 

 

 

 

Greenblatt

Shakespeare : Will le magnifique

Le Pogge et Lucrèce au Quattrocento

Adam et Eve, mythe et historicité

 

 

 

 

 

 

 

Guerre et violence

John Keegan : Histoire de la guerre

Storia della guerra di John Keegan

Guerre et paix à la Fondation Martin Bodmer

Violence, biblique, romaine et Terreur

Violence et vices politiques

Battle royale, cruelle téléréalité

Honni soit qui Syrie pense

Emeutes et violences urbaines

Mortel fait divers et paravent idéologique

Violences policières et antipolicières

Stefan Brijs : Courrier des tranchées

 

 

 

 

 

 

Guinhut

Une vie d'écriture et de photographie

 

 

 

 

 

 

Guinhut Muses Academy

Muses Academy, roman : synopsis, Prologue

I L'ouverture des portes

II Récit de l'Architecte : Uranos ou l'Orgueil

Première soirée : dialogue et jury des Muses

V Récit de la danseuse Terpsichore

IX Récit du cinéaste : L’ecpyrose de l’Envie

XI Récit de la Musicienne : La Gourmandise

XIII Récit d'Erato : la peintresse assassine

XVII Polymnie ou la tyrannie politique

XIX Calliope jeuvidéaste : Civilisation et Barbarie

 

 

 

 

 

 

Guinhut

Philosophie politique

 

 

 

 

 

 

Guinhut

Faillite et universalité de la beauté, de l'Antiquité à notre contemporain, essai

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut

Au Coeur des Pyrénées

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut

Pyrénées entre Aneto et Canigou

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut

Haut-Languedoc

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut

Montagne Noire : Journal de marche

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut Triptyques

Le carnet des Triptyques géographiques

 

 

 

 

 

 

Guinhut Le Recours aux Monts du Cantal

Traversées. Le recours à la montagne

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut

Le Marais poitevin

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut La République des rêves

La République des rêves, roman

I Une route des vins de Blaye au Médoc

II La Conscience de Bordeaux

II Le Faust de Bordeaux

III Bironpolis. Incipit

III Bironpolis. Les nuages de Titien 

IV Eros à Sauvages : Les belles inconnues

IV Eros : Mélissa et les sciences politiques

VII Le Testament de Job

VIII De natura rerum. Incipit

VIII De natura rerum. Euro Urba

VIII De natura rerum. Montée vers l’Empyrée

VIII De natura rerum excipit

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut Les Métamorphoses de Vivant

I Synopsis, sommaire et prologue

II Arielle Hawks prêtresse des médias

III La Princesse de Monthluc-Parme

IV Francastel, frontnationaliste

V Greenbomber, écoterroriste

VI Lou-Hyde Motion, Jésus-Bouddha-Star

VII Démona Virago, cruella du-postféminisme

 

 

 

 

 

 

Guinhut Voyages en archipel

I De par Marie à Bologne descendu

IX De New-York à Pacifica

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut Sonnets

À une jeune Aphrodite de marbre

Sonnets des paysages

Sonnets de l'Art poétique

Sonnets autobiographiques

Des peintres : Crivelli, Titien, Rothko, Tàpies, Twombly

Trois requiem : Selma, Mandelstam, Malala

 

 

 

 

 

 

Guinhut Trois vies dans la vie d'Heinz M

I Une année sabbatique

II Hölderlin à Tübingen

III Elégies à Liesel

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut Le Passage des sierras

Un Etat libre en Pyrénées

Le Passage du Haut-Aragon

Vihuet, une disparition

 

 

 

 

 

 

 

Guinhut

Ré une île en paradis

 

 

 

 

 

 

Guinhut

Photographie

 

 

 

 

 

 

Guinhut La Bibliothèque du meurtrier

Synospsis, sommaire et Prologue

I L'Artiste en-maigreur

II Enquête et pièges au labyrinthe

III L'Ecrivain voleur de vies

IV La Salle Maladeta

V Les Neiges du philosophe

VI Le Club des tee-shirts politiques

XIII Le Clone du Couloirdelavie.com.

 

 

 

 

 

 

Haddad

La Sirène d'Isé

Le Peintre d’éventail, Les Haïkus

Corps désirable, Nouvelles de jour et nuit

 

 

 

 

 

 

 

Haine

Du procès contre la haine

 

 

 

 

 

 

 

Hamsun

Faim romantique et passion nazie

 

 

 

 

 

 

 

Haushofer

Albrecht Haushofer : Sonnets de Moabit

Marlen Haushofer : Mur invisible, Mansarde

 

 

 

 

 

 

 

Hayek

De l’humiliation électorale

Serions-nous plus libres sans l'Etat ?

Tempérament et rationalisme politique

Front Socialiste National et antilibéralisme

 

 

 

 

 

 

 

Histoire

Histoire du monde en trois tours de Babel

Eloge, blâme : Histoire mondiale de la France

Statues de l'Histoire et mémoire

De Mein Kampf à la chambre à gaz

Rome du libéralisme au socialisme

Destruction des Indes : Las Casas, Verne

Jean Claude Bologne historien de l'amour

Jean Claude Bologne : Histoire du scandale

Histoire du vin et culture alimentaire

Corbin, Vigarello : Histoire du corps

Berlin, du nazisme au communisme

De Mahomet au Coran, de la traite arabo-musulmane au mythe al-Andalus

L'Islam parmi le destin français

 

 

 

 

 

 

 

Hobbes

Emeutes urbaines : entre naïveté et guerre

Serions-nous plus libres sans l'Etat ?

 

 

 

 

 

 

 

Hoffmann

Le fantastique d'Hoffmann à Ewers

 

 

 

 

 

 

 

Hölderlin

Trois vies d'Heinz M. II Hölderlin à Tübingen

 

 

 

 

 

 

Homère

Dan Simmons : Ilium science-fictionnel

 

 

 

 

 

 

 

Homosexualité

Pasolini : Sonnets du manque amoureux

Libertés libérales : Homosexualité, drogues, prostitution, immigration

Garcia Lorca : homosexualité et création

 

 

 

 

 

 

Houellebecq

Extension du domaine de la soumission

 

 

 

 

 

 

 

Humanisme

Erasme et Aldo Manuzio

Etat et utopie de Thomas More

Le Pogge : Facéties et satires morales

Le Pogge et Lucrèce au Quattrocento

De la République des Lettres et de Peiresc

Eloge de Pétrarque humaniste et poète

Pic de la Mirandole : 900 conclusions

 

 

 

 

 

 

 

Hustvedt

Vivre, penser, regarder. Eté sans les hommes

Le Monde flamboyant d’une femme-artiste

 

 

 

 

 

 

 

Huxley

Du meilleur des mondes aux Temps futurs

 

 

 

 

 

 

 

Ilis 

Croisade des enfants, Vies parallèles, Livre des nombres

 

 

 

 

 

 

 

Impôt

Vers le paradis fiscal français ?

Sloterdijk : fiscocratie, repenser l’impôt

La dette grecque,  tonneau des Danaïdes

 

 

 

 

 

 

Inde

Coffret Inde, Bhagavad-gita, Nagarjuna

Les hijras d'Arundhati Roy et Anosh Irani

 

 

 

 

 

 

Inégalités

L'argument spécieux des inégalités : Rousseau, Marx, Piketty, Jouvenel, Hayek

 

 

 

 

 

 

Islam

Lettre à une jeune femme politique

Du fanatisme morbide islamiste

Dictatures arabes et ottomanes

Islam et Russie : choisir ses ennemis

Humanisme et civilisation devant le viol

Arbre du terrorisme, forêt d'Islam : dénis

Arbre du terrorisme, forêt d'Islam : défis

Sommes-nous islamophobes ?

Islamologie I Mahomet, Coran, al-Andalus

Islamologie II arabe et Islam en France

Claude Lévi-Strauss juge de l’Islam

Pourquoi nous ne sommes pas religieux

Vérité d’islam et vérités libérales

Identité, assimilation : Finkielkraut, Tribalat

Averroès et al-Ghazali

 

 

 

 

 

Israël

Une épine démocratique parmi l’Islam

Résistance biblique Appelfeld Les Partisans

Amos Oz : un Judas anti-fanatique

 

 

 

 

 

 

 

Jaccottet

Philippe Jaccottet : Madrigaux & Clarté

 

 

 

 

 

 

James

Voyages et nouvelles d'Henry James

 

 

 

 

 

 

 

Jankélévitch

Jankélévitch, conscience et pardon

L'enchantement musical


 

 

 

 

 

 

Japon

Bashô : L’intégrale des haïkus

Kamo no Chômei, cabane de moine et éveil

Kawabata : Pissenlits et Mont Fuji

Kiyoko Murata, Julie Otsuka : Fille de joie

Battle royale : téléréalité politique

Haruki Murakami : Le Commandeur, Kafka

Murakami Ryû : 1969, Les Bébés

Mieko Kawakami : Nuits, amants, Seins, œufs

Ôé Kenzaburô : Adieu mon livre !

Ogawa Yoko : Cristallisation secrète

Ogawa Yoko : Le Petit joueur d’échecs

À l'ombre de Tanizaki

101 poèmes du Japon d'aujourd'hui

Rires du Japon et bestiaire de Kyosai

 

 

 

 

 

 

Jünger

Carnets de guerre, tempêtes du siècle

 

 

 

 

 

 

 

Kafka

Justice au Procès : Kafka et Welles

L'intégrale des Journaux, Récits et Romans

 

 

 

 

 

 

Kant

Grandeurs et descendances des Lumières

Qu’est-ce que l’obscurantisme socialiste ?

 

 

 

 

 

 

 

Karinthy

Farémido, Epépé, ou les pays du langage

 

 

 

 

 

 

Kawabata

Pissenlits, Premières neiges sur le Mont Fuji

 

 

 

 

 

 

Kehlmann

Tyll Ulespiegle, Les Arpenteurs du monde

 

 

 

 

 

 

Kertész

Kertész : Sauvegarde contre l'antisémitisme

 

 

 

 

 

 

 

Kjaerstad

Le Séducteur, Le Conquérant, Aléa

 

 

 

 

 

 

Knausgaard

Autobiographies scandinaves

 

 

 

 

 

 

Kosztolanyi

Portraits, Kornél Esti

 

 

 

 

 

 

 

Krazsnahorkaï

La Venue d'Isaie ; Guerre & Guerre

Le retour de Seiobo et du baron Wenckheim

 

 

 

 

 

 

 

La Fontaine

Des Fables enfantines et politiques

Guinhut : Fables politiques

 

 

 

 

 

 

Lagerlöf

Le voyage de Nils Holgersson

 

 

 

 

 

 

 

Lainez

Lainez : Bomarzo ; Fresan : Melville

 

 

 

 

 

 

 

Lamartine

Le lac, élégie romantique

 

 

 

 

 

 

 

Lampedusa

Le Professeur et la sirène

 

 

 

 

 

 

Langage

Euphémisme et cliché euphorisant, novlangue politique

Langage politique et informatique

Langue de porc et langue inclusive

Vulgarité langagière et règne du langage

L'arabe dans la langue française

George Steiner, tragédie et réelles présences

Vocabulaire européen des philosophies

Ben Marcus : L'Alphabet de flammes

 

 

 

 

 

 

Larsen 

L’Extravagant voyage de T.S. Spivet

 

 

 

 

 

 

 

Legayet

Satire de la cause animale et botanique

 

 

 

 

 

 

Leopardi

Génie littéraire et Zibaldone par Citati

 

 

 

 

 

 

 

Lévi-Strauss

Claude Lévi-Strauss juge de l’Islam

 

 

 

 

 

 

 

Libertés, Libéralisme

Pourquoi je suis libéral

Pour une éducation libérale

Du concept de liberté aux Penseurs libéraux

Lettre à une jeune femme politique

Le libre arbitre devant le bien et le mal

Requiem pour la liberté d’expression

Qui est John Galt ? Ayn Rand : La Grève

Ayn Rand : Atlas shrugged, la grève libérale

Mario Vargas Llosa, romancier des libertés

Homosexualité, drogues, prostitution

Serions-nous plus libres sans l'Etat ?

Tempérament et rationalisme politique

Front Socialiste National et antilibéralisme

Rome du libéralisme au socialisme

 

 

 

 

 

 

Lins

Osman Lins : Avalovara, carré magique

 

 

 

 

 

 

 

Littell

Les Bienveillantes, mythe et histoire

 

 

 

 

 

 

 

Lorca

La Colombe de Federico Garcia Lorca

 

 

 

 

 

 

Lovecraft

Depuis l'abîme du temps : l'appel de Cthulhu

Lovecraft, Je suis Providence par S.T. joshi

 

 

 

 

 

 

Lugones

Fantastique, anticipation, Forces étranges

 

 

 

 

 

 

Lumières

Grandeurs et descendances des Lumières

D'Holbach : La Théologie portative

Tolérer Voltaire et non le fanatisme

 

 

 

 

 

Machiavel

Actualités de Machiavel : Le Prince

 

 

 

 

 

 

 

Magris

Secrets et Enquête sur une guerre classée

 

 

 

 

 

 

 

Makouchinski

Un bateau pour l'Argentine

 

 

 

 

 

 

Mal

Hannah Arendt : De la banalité du mal

De l’origine et de la rédemption du mal : théologie, neurologie et politique

Le libre arbitre devant le bien et le mal

Christianophobie et désir de barbarie

Cabré Confiteor, Menéndez Salmon Medusa

Roberto Bolano : 2666, Nocturne du Chili

 

 

 

 

 

 

 

Maladie, peste

Maladie et métaphore : Wagner, Maï, Zorn

Pandémies historiques et idéologiques

Pandémies littéraires : M Shelley, J London, G R. Stewart, C McCarthy

 

 

 

 

 

 

 

Mandelstam

Poésie à Voronej et Oeuvres complètes

Trois requiem, sonnets

 

 

 

 

 

 

 

Manguel

Le cheminement dantesque de la curiosité

Le Retour et Nouvel éloge de la folie

Voyage en utopies

Lectures du mythe de Frankenstein

Je remballe ma bibliothèque

Du mythe européen aux Lettres européennes

 

 

 

 

 

 

 

Mann Thomas

Thomas Mann magicien faustien du roman

 

 

 

 

 

 

 

Marcher

De L’Art de marcher

Flâneurs et voyageurs

Le Passage des sierras

Le Recours aux Monts du Cantal

Trois vies d’Heinz M. I Une année sabbatique

 

 

 

 

 

 

Marcus

L’Alphabet de flammes, conte philosophique

 

 

 

 

 

 

Mari

Les Folles espérances, fresque italienne

 

 

 

 

 

 

 

Marino

Adonis, un grand poème baroque

 

 

 

 

 

 

Marivaux

Le Jeu de l'amour et du hasard

 

 

 

 

 

 

Martin Georges R.R.

Le Trône de fer, La Fleur de verre : fantasy, morale et philosophie politique

 

 

 

 

 

 

Martin Jean-Clet

Philosopher la science-fiction et le cinéma

Enfer de la philosophie et Coup de dés

Déconstruire Derrida

 

 

 

 

 

 

 

Marx

Karl Marx, théoricien du totalitarisme

« Hommage à la culture communiste »

De l’argument spécieux des inégalités

 

 

 

 

 

 

Mattéi

Petit précis de civilisations comparées

 

 

 

 

 

 

 

McEwan

Satire et dystopie : Une Machine comme moi, Sweet Touch, Solaire

 

 

 

 

 

 

Méditerranée

Histoire et visages de la Méditerranée

 

 

 

 

 

 

Mélancolie

Mélancolie de Burton à Földenyi

 

 

 

 

 

 

 

Melville

Billy Budd, Olivier Rey, Chritophe Averlan

Roberto Abbiati : Moby graphick

 

 

 

 

 

 

Mille et une nuits

Les Mille et une nuits de Salman Rushdie

Schéhérazade, Burton, Hanan el-Cheikh

 

 

 

 

 

 

Mitchell

Des Ecrits fantômes aux Mille automnes

 

 

 

 

 

 

 

Mode

Histoire et philosophie de la mode

 

 

 

 

 

 

Montesquieu

Eloge des arts, du luxe : Lettres persanes

Lumière de L'Esprit des lois

 

 

 

 

 

 

 

Moore

La Voix du feu, Jérusalem, V for vendetta

 

 

 

 

 

 

 

Morale

Notre virale tyrannie morale

 

 

 

 

 

 

 

More

Etat, utopie, justice sociale : More, Ogien

 

 

 

 

 

 

Morrison

Délivrances : du racisme à la rédemption

L'amour-propre de l'artiste

 

 

 

 

 

 

 

Moyen Âge

Rythmes et poésies au Moyen Âge

Umberto Eco : Baudolino

Christine de Pizan, poète feministe

Troubadours et érotisme médiéval

Le Goff, Hildegarde de Bingen

 

 

 

 

 

 

Mulisch

Siegfried, idylle noire, filiation d’Hitler

 

 

 

 

 

 

 

Murakami Haruki

Le meurtre du commandeur, Kafka

Les licornes de La Fin des temps

 

 

 

 

 

 

Musique

Musique savante contre musique populaire

Pour l'amour du piano et des compositrices

Les Amours de Brahms et Clara Schumann

Mizubayashi : Suite, Recondo : Grandfeu

Jankélévitch : L'Enchantement musical

Lady Gaga versus Mozart La Reine de la nuit

Lou Reed : chansons ou poésie ?

Schubert : Voyage d'hiver par Ian Bostridge

Grozni : Chopin contre le communisme

Wagner : Tristan und Isold et l'antisémitisme

 

 

 

 

 

 

Mythes

La Genèse illustrée par l'abstraction

Frankenstein par Manguel et Morvan

Frankenstein et autres romans gothiques

Dracula et autres vampires

Testart : L'Amazone et la cuisinière

Métamorphoses d'Ovide

Luc Ferry : Mythologie et philosophie

L’Enfer, mythologie des lieux, Hugo Lacroix

 

 

 

 

 

 

 

Nabokov

La Vénitienne et autres nouvelles

De l'identification romanesque

 

 

 

 

 

 

 

Nadas

Mémoire et Mélancolie des sirènes

La Bible, Almanach

 

 

 

 

 

 

Nadaud

Des montagnes et des dieux, deux fictions

 

 

 

 

 

 

Naipaul

Masque de l’Afrique, Semences magiques

 

 

 

 

 

 

 

Nietzsche

Bonheurs, trahisons : Dictionnaire Nietzsche

Romantisme et philosophie politique

Nietzsche poète et philosophe controversé

Les foudres de Nietzsche sont en Pléiade

Jean-Clet Martin : Enfer de la philosophie

Violences policières et antipolicières

 

 

 

 

 

 

Nooteboom

L’écrivain au parfum de la mort

 

 

 

 

 

 

Norddahl

SurVeillance, holocauste, hermaphrodisme

 

 

 

 

 

 

Oates

Le Sacrifice, Mysterieux Monsieur Kidder

 

 

 

 

 

 

 

Ôé Kenzaburo

Ôé, le Cassandre nucléaire du Japon

 

 

 

 

 

 

Ogawa 

Cristallisation secrète du totalitarisme

Au Musée du silence : Le Petit joueur d’échecs, La jeune fille à l'ouvrage

 

 

 

 

 

 

Onfray

Faut-il penser Michel Onfray ?

Censures et Autodafés

Cosmos

 

 

 

 

 

 

Oppen

Oppen, objectivisme et Format américain

Oppen

 

Orphée

Fonctions de la poésie, pouvoirs d'Orphée

 

 

 

 

 

 

Orwell

L'orwellisation sociétale

Cher Big Brother, Prism américain, français

Euphémisme, cliché euphorisant, novlangue

Contrôles financiers ou contrôles étatiques ?

Orwell 1984

 

Ovide

Métamorphoses et mythes grecs

 

 

 

 

 

 

 

Palahniuk

Le réalisme sale : Peste, L'Estomac, Orgasme

 

 

 

 

 

 

Palol

Le Jardin des Sept Crépuscules, Le Testament d'Alceste

 

 

 

 

 

 

 

Pamuk

Autobiographe d'Istanbul

Le musée de l’innocence, amour, mémoire

 

 

 

 

 

 

 

Panayotopoulos

Le Gène du doute, ou l'artiste génétique

Panayotopoulos

 

Panofsky

Iconologie de la Renaissance

 

 

 

 

 

 

Paris

Les Chiffonniers de Paris au XIX°siècle

 

 

 

 

 

 

 

Pasolini

Sonnets des tourments amoureux

 

 

 

 

 

 

Pavic

Dictionnaire khazar, Boite à écriture

 

 

 

 

 

 

 

Peinture

Traverser la peinture : Arasse, Poindron

Le tableau comme relique, cri, toucher

Peintures et paysages sublimes

Sonnets des peintres : Crivelli, Titien, Rohtko, Tapiès, Twombly

 

 

 

 

 

 

Perec

Les Lieux de Georges Perec

 

 

 

 

 

 

 

Perrault

Des Contes pour les enfants ?

Perrault Doré Chat

 

Pétrarque

Eloge de Pétrarque humaniste et poète

Du Canzoniere aux Triomphes

 

 

 

 

 

 

 

Petrosyan

La Maison dans laquelle

 

 

 

 

 

 

Philosophie

Mondialisations, féminisations philosophiques

 

 

 

 

 

 

Photographie

Photographie réaliste et platonicienne : Depardon, Meyerowitz, Adams

La photographie, biographème ou oeuvre d'art ? Benjamin, Barthes, Sontag

Ben Loulou des Sanguinaires à Jérusalem

Ewing : Le Corps, Love and desire

 

 

 

 

 

 

Picaresque

Smollett, Weerth : Vaurien et Chenapan

 

 

 

 

 

 

 

Pic de la Mirandole

Humanisme philosophique : 900 conclusions

 

 

 

 

 

 

Pierres

Musée de minéralogie, sexe des pierres

 

 

 

 

 

 

Pisan

Cent ballades, La Cité des dames

 

 

 

 

 

 

Platon

Faillite et universalité de la beauté

 

 

 

 

 

 

Poe

Edgar Allan Poe, ange du bizarre

 

 

 

 

 

 

 

Poésie

Anthologie de la poésie chinoise

À une jeune Aphrodite de marbre

Brésil, Anthologie XVI°- XX°

Chanter et enchanter en poésie 

Emaz, Sacré : anti-lyrisme et maladresse

Fonctions de la poésie, pouvoirs d'Orphée

Histoire de la poésie du XX° siècle

Japon poétique d'aujourd'hui

Lyrisme : Riera, Voica, Viallebesset, Rateau

Marteau : Ecritures, sonnets

Oppen, Padgett, Objectivisme et lyrisme

Pizarnik, poèmes de sang et de silence

Poésie en vers, poésie en prose

Poésies verticales et résistances poétiques

Du romantisme à la Shoah

Anthologies et poésies féminines

Trois vies d'Heinz M, vers libres

Schlechter : Le Murmure du monde

 

 

 

 

 

 

Pogge

Facéties, satires morales et humanistes

 

 

 

 

 

 

 

Policier

Chesterton, prince de la nouvelle policière

Terry Hayes : Je suis Pilgrim ou le fanatisme

Les crimes de l'artiste : Pobi, Kellerman

Bjorn Larsson : Les Poètes morts

Chesterton father-brown

 

Populisme

Populisme, complotisme et doxa

 

 

 

 

 

 

 

Porter
La Douleur porte un masque de plumes

 

 

 

 

 

 

 

Portugal

Pessoa et la poésie lyrique portugaise

Tavares : un voyage en Inde et en vers

 

 

 

 

 

 

Pound

Ezra Pound, poète politique controversé par Mary de Rachewiltz et Pierre Rival

 

 

 

 

 

 

Powers

Générosité, Chambre aux échos, Sidérations

Orfeo, le Bach du bioterrorisme

L'éco-romancier de L'Arbre-monde

 

 

 

 

 

 

 

Pressburger

L’Obscur royaume, ou l’enfer du XX° siècle

Pressburger

 

Proust

Le baiser à Albertine : À l'ombre des jeunes filles en fleurs

Illustrations, lectures et biographies

Le Mystérieux correspondant, 75 feuillets

Céline et Proust, la recherche du voyage

 

 

 

 

 

 

Pynchon

Contre-jour, une quête de lumière

Fonds perdus du web profond & Vice caché

Vineland, une utopie postmoderne

 

 

 

 

 

 

 

Racisme

Racisme et antiracisme

Pour l'annulation de la Cancel culture

Ecrivains noirs : Wright, Ellison, Baldwin, Scott Heron, Anthologie noire

 

 

 

 

 

 

Rand

Qui est John Galt ? La Source vive, La Grève

Atlas shrugged et La grève libérale

 

 

 

 

 

 

Raspail

Sommes-nous islamophobes ?

Camp-des-Saints

 

Reed Lou

Chansons ou poésie ? L’intégrale

 

 

 

 

 

 

 

Religions et Christianisme

Pourquoi nous ne sommes pas religieux

Catholicisme versus polythéisme

Eloge du blasphème

De Jésus aux chrétiennes uchronies

Le Livre noir de la condition des Chrétiens

D'Holbach : Théologie portative et humour

De l'origine des dieux ou faire parler le ciel

Eloge paradoxal du christianisme

 

 

 

 

 

 

Renaissance

Renaissance historique et humaniste

 

 

 

 

 

 

 

Revel

Socialisme et connaissance inutile

 

 

 

 

 

 

 

Richter Jean-Paul

Le Titan du romantisme allemand

 

 

 

 

 

 

 

Rios

Nouveaux chapeaux pour Alice, Chez Ulysse

 

 

 

 

 

 

Rilke

Sonnets à Orphée, Poésies d'amour

 

 

 

 

 

 

 

Roman 

Adam Thirlwell : Le Livre multiple

L'identification romanesque : Nabokov, Mann, Flaubert, Orwell...

Nabokov Loilita folio

 

Rome

Causes et leçons de la chute de Rome

Rome de César à Fellini

Romans grecs et latins

 

 

 

 

 

 

 

Ronsard

Sonnets pour Hélène LXVIII Commentaire

 

 

 

 

 

 

 

Rostand

Cyrano de Bergerac : amours au balcon

 

 

 

 

 

 

Roth Philip

Hitlérienne uchronie contre l'Amérique

Les Contrevies de la Bête qui meurt

 

 

 

 

 

 

Rousseau

Archéologie de l’écologie politique

De l'argument spécieux des inégalités

 

 

 

 

 

 

 

Rushdie

Joseph Anton, plaidoyer pour les libertés

Quichotte, Langages de vérité

Entre Averroès et Ghazali : Deux ans huit mois et vingt-huit nuits

Rushdie 6

 

Russell

De la fumisterie intellectuelle

Pourquoi nous ne sommes pas religieux

Russell F

 

Russie

Islam, Russie, choisir ses ennemis

Golovkina : Les Vaincus ; Annenkov : Journal

Les dystopies de Zamiatine et Platonov

Isaac Babel ou l'écriture rouge

Ludmila Oulitskaia ou l'âme de l'Histoire

Bounine : Coup de soleil, nouvelles

 

 

 

 

 

 

 

Sade

Sade, ou l’athéisme de la sexualité

 

 

 

 

 

 

 

San-Antonio

Rire de tout ? D’Aristote à San-Antonio

 

 

 

 

 

 

 

Sansal

2084, conte orwellien de la théocratie

Le Train d'Erlingen, métaphore des tyrannies

 

Schlink

Filiations allemandes : Le Liseur, Olga

 

 

 

 

 

 

Schmidt Arno

Un faune pour notre temps politique

Le marcheur de l’immortalité

Arno Schmidt Scènes

 

Sciences

Agonie scientifique et sophisme français

Transhumanisme, intelligence artificielle, robotique

Tyrannie écologique et suicide économique

Wohlleben : La Vie secrète des arbres

Factualité, catastrophisme et post-vérité

Cosmos de science, d'art et de philosophie

Science et guerre : Volpi, Labatut

L'Eglise est-elle contre la science ?

Inventer la nature : aux origines du monde

Minéralogie et esthétique des pierres

 

 

 

 

 

 

Science fiction

Philosopher la science fiction

Ballard : un artiste de la science fiction

Carrion : les orphelins du futur

Dyschroniques et écofictions

Gibson : Neuromancien, Identification

Le Guin : La Main gauche de la nuit

Magnason : LoveStar, Kling : Quality Land

Miller : L’Univers de carton, Philip K. Dick

Mnémos ou la mémoire du futur

Silverberg : Roma, Shadrak, stochastique

Simmons : Ilium et Flashback géopolitiques

Sorokine : Le Lard bleu, La Glace, Telluria

Stalker, entre nucléaire et métaphysique

Théorie du tout : Ourednik, McCarthy

 

 

 

 

 

 

 

Self 

Will Self ou la théorie de l'inversion

Parapluie ; No Smoking

 

 

 

 

 

 

 

Sender

Le Fugitif ou l’art du huis-clos

 

 

 

 

 

 

 

Seth

Golden Gate. Un roman en sonnets

Seth Golden gate

 

Shakespeare

Will le magnifique ou John Florio ?

Shakespeare et la traduction des Sonnets

À une jeune Aphrodite de marbre

La Tempête, Othello : Atwood, Chevalier

 

 

 

 

 

 

 

Shelley Mary et Percy Bysshe

Le mythe de Frankenstein

Frankenstein et autres romans gothiques

Le Dernier homme, une peste littéraire

La Révolte de l'Islam

Frankenstein Shelley

 

Shoah

Ecrits des camps, Philosophie de la shoah

De Mein Kampf à la chambre à gaz

Paul Celan minotaure de la poésie

 

 

 

 

 

 

Silverberg

Uchronies et perspectives politiques : Roma aeterna, Shadrak, L'Homme-stochastique

 

 

 

 

 

 

 

Simmons

Ilium et Flashback géopolitiques

 

 

 

 

 

 

Sloterdijk

Les sphères de Peter Sloterdijk : esthétique, éthique politique de la philosophie

Gris politique et Projet Schelling

Contre la « fiscocratie » ou repenser l’impôt

Les Lignes et les jours. Notes 2008-2011

Elégie des grandeurs de la France

Faire parler le ciel. De la théopoésie

Archéologie de l’écologie politique

 

 

 

 

 

 

Smith Adam

Pourquoi je suis libéral

Tempérament et rationalisme politique

 

 

 

 

 

 

 

Smith Patti

De Babel au Livre de jours

 

 

 

 

 

 

Sofsky

Violence et vices politiques

Surveillances étatiques et entrepreneuriales

 

 

 

 

 

 

 

Sollers

Vie divine de Sollers et guerre du goût

Dictionnaire amoureux de Venise

Sollersd-vers-le-paradis-dante

 

Somoza

Daphné disparue et les Muses dangereuses

Les monstres de Croatoan et de Dieu mort

 

 

 

 

 

 

Sonnets

À une jeune Aphrodite de marbre

Barrett Browning et autres sonnettistes 

Marteau : Ecritures  

Pasolini : Sonnets du tourment amoureux

Phénix, Anthologie de sonnets

Seth : Golden Gate, roman en vers

Shakespeare : Six Sonnets traduits

Haushofer : Sonnets de Moabit

Sonnets autobiographiques

Sonnets de l'Art poétique

 

 

 

 

 

 

Sorcières

Sorcières diaboliques et féministes

 

 

 

 

 

 

Sorokine

Le Lard bleu, La Glace, Telluria

 

 

 

 

 

 

 

Sorrentino

Ils ont tous raison, déboires d'un chanteur

 

 

 

 

 

 

 

Sôseki

Rafales d'automne sur un Oreiller d'herbes

Poèmes : du kanshi au haïku

 

 

 

 

 

 

 

Spengler

Déclin de l'Occident de Spengler à nos jours

 

 

 

 

 

 

 

Sport

Vulgarité sportive, de Pline à 0rwell

 

 

 

 

 

 

 

Staël

Libertés politiques et romantiques

 

 

 

 

 

 

Starobinski

De la Mélancolie, Rousseau, Diderot

Starobinski 1

 

Steiner

Oeuvres : tragédie et réelles présences

De l'incendie des livres et des bibliothèques

 

 

 

 

 

 

 

Stendhal

Julien lecteur bafoué, Le Rouge et le noir

L'échelle de l'amour entre Julien et Mathilde

Les spectaculaires funérailles de Julien

 

 

 

 

 

 

 

Stevenson

La Malle en cuir ou la société idéale

Stevenson

 

Stifter

L'Arrière-saison des paysages romantiques

 

 

 

 

 

 

Strauss Leo

Pour une éducation libérale

 

 

 

 

 

 

Strougatski

Stalker, nucléaire et métaphysique

 

 

 

 

 

 

 

Szentkuthy

Le Bréviaire de Saint Orphée, Europa minor

 

 

 

 

 

 

Tabucchi

Anges nocturnes, oiseaux, rêves

 

 

 

 

 

 

 

Temps, horloges

Landes : L'Heure qu'il est ; Ransmayr : Cox

Temps de Chronos et politique des oracles

 

 

 

 

 

 

 

Tesich

Price et Karoo, revanche des anti-héros

Karoo

 

Texier

Le démiurge de L’Alchimie du désir

 

 

 

 

 

 

 

Théâtre et masques

Masques & théâtre, Fondation Bodmer

 

 

 

 

 

 

Thoreau

Journal, Walden et Désobéissance civile

 

 

 

 

 

 

 

Tocqueville

Française tyrannie, actualité de Tocqueville

Au désert des Indiens d’Amérique

 

 

 

 

 

 

Tolstoï

Sonate familiale chez Sofia & Léon Tolstoi, chantre de la désobéissance politique

 

 

 

 

 

 

 

Totalitarismes

Ampuero : la faillite du communisme cubain

Arendt : banalité du mal et de la culture

« Hommage à la culture communiste »

De Mein Kampf à la chambre à gaz

Karl Marx, théoricien du totalitarisme

Lénine et Staline exécuteurs du totalitarisme

Mussolini et le fascisme

Pour l'annulation de la Cancel culture

Muses Academy : Polymnie ou la tyrannie

Tempérament et rationalisme politique 

Hayes : Je suis Pilgrim ; Tejpal

Meerbraum, Mandelstam, Yousafzai

 

 

 

 

 

 

 

Trollope

L’Ange d’Ayala, satire de l’amour

Trollope ange

 

Trump

Entre tyrannie et rhinocérite, éloge et blâme

À la recherche des années Trump : G Millière

 

 

 

 

 

 

 

Tsvetaeva

Poèmes, Carnets, Chroniques d’un goulag

Tsvetaeva Clémence Hiver

 

Ursin

Jean Ursin : La prosopopée des animaux

 

 

 

 

 

 

Utopie, dystopie, uchronie

Etat et utopie de Thomas More

Zamiatine, Nous et l'Etat unitaire

Huxley : Meilleur des mondes, Temps futurs

Orwell, un novlangue politique

Margaret Atwood : La Servante écarlate

Hitlérienne uchronie : Lewis, Burdekin, K.Dick, Roth, Scheers, Walton

Utopies politiques radieuses ou totalitaires : More, Mangel, Paquot, Caron

Dyschroniques, dystopies

Ernest Callenbach : Ecotopia

Herland parfaite république des femmes

A. Waberi : Aux Etats-unis d'Afrique

Alan Moore : V for vendetta, Jérusalem

L'hydre de l'Etat : Karlsson, Sinisalo

 

 

 

 

 

 

Valeurs, relativisme

De Nathalie Heinich à Raymond Boudon

 

 

 

 

 

 

 

Vargas Llosa

Vargas Llosa, romancier des libertés

Aux cinq rues Lima, coffret Pléiade

Littérature et civilisation du spectacle

Rêve du Celte et Temps sauvages

Journal de guerre, Tour du monde

Arguedas ou l’utopie archaïque

Vargas-Llosa-alfaguara

 

Venise

Strates vénitiennes et autres canaux d'encre

 

 

 

 

 

 

 

Vérité

Maîtres de vérité et Vérité nue

 

 

 

 

 

 

Verne

Colonialisme : de Las Casas à Jules Verne

 

 

 

 

 

 

Vesaas

Le Palais de glace

 

 

 

 

 

 

Vigolo

La Virgilia, un amour musical et apollinien

Vigolo Virgilia 1

 

Vila-Matas

Vila-Matas écrivain-funambule

 

 

 

 

 

 

Vin et culture alimentaire

Histoire du vin et de la bonne chère de la Bible à nos jours

 

 

 

 

 

 

Visage

Hans Belting : Faces, histoire du visage

 

 

 

 

 

 

 

Vollmann

Le Livre des violences

Central Europe, La Famille royale

Vollmann famille royale

 

Volpi

Volpi : Klingsor. Labatut : Lumières aveugles

Des cendres du XX°aux cendres du père

Volpi Busca 3

 

Voltaire

Tolérer Voltaire et non le fanatisme

Espmark : Le Voyage de Voltaire

 

 

 

 

 

 

 

Vote

De l’humiliation électorale

Front Socialiste National et antilibéralisme

 

 

 

 

 

 

 

Voyage, villes

Villes imaginaires : Calvino, Anderson

Flâneurs, voyageurs : Benjamin, Woolf

 

 

 

 

 

 

 

Wagner

Tristan und Isolde et l'antisémitisme

 

 

 

 

 

 

 

Walcott

Royaume du fruit-étoile, Heureux voyageur

Walcott poems

 

Walton

Morwenna, Mes vrais enfants

 

 

 

 

 

 

Welsh

Drogues et sexualités : Trainspotting, La Vie sexuelle des soeurs siamoises

 

 

 

 

 

 

 

Whitman

Nouvelles et Feuilles d'herbes

 

 

 

 

 

 

 

Wideman

Trilogie de Homewood, Projet Fanon

Le péché de couleur : Mémoires d'Amérique

Wideman Belin

 

Williams

Stoner, drame d’un professeur de littérature

Williams Stoner939

 

 

Wolfe

Le Règne du langage

 

 

 

 

 

 

Wordsworth

Poésie en vers et poésie en prose

 

 

 

 

 

 

 

Yeats

Derniers poèmes, Nôs irlandais, Lettres

 

 

 

 

 

 

 

Zamiatine

Nous : le bonheur terrible de l'Etat unitaire

 

 

 

 

 

 

Zao Wou-Ki

Le peintre passeur de poètes

 

 

 

 

 

 

 

Zimler

Lazare, Le ghetto de Varsovie

 

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